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SOURATE AL-KAWTHAR - (الْكَوْثَرَ)

Le 16/07/2023 0

Traduction correcte de la Sourate Al-Kawthar  (الْكَوْثَرَ) L'abondance

Réelle traduction de mot Nahr traduit par sacrifice dans la tradition.

 

 

SOURATE AL-KAWTHAR - (الْكَوْثَرَ)

VÉRITABLE ANALYSE GRAMMATICALE

ET TRADUCTION CORRECTE.

 

Dans le message ci-dessous, frère Fawad Khan m'a demandé de produire la traduction correcte de la sourate Al KawtharIl a également dit que jusqu'à présent, personne n'a correctement traduit le mot نحر nahr de cette sourate.

"Je voudrais un peu de votre temps précieux. J'ai lu votre article sur Nahar, mais je n'ai pas pu traduire le Nahar de la sourate Al-Kawtar." Selon mon pauvre intellect, le sens de nahar ici est de combattre en étendant le torse ou en résistant. Puisque vous connaissez bien l'étymologie, pourriez-vous donner quelques indications à cet égard. Et si vous envoyez la traduction complète de cette courte sourate Je serai très reconnaissant.

Merci - un chemin de vérité.

Fawad Khan"

 

Ma réponse

En réalité, il ne s'agit pas seulement du mot نحر nahr qui a été manifestement déformé dans la traduction pour amener dans le Coran le rituel païen interdit du sacrifice d'animaux, mais en fait la véritable interprétation de tous les versets de cette sourate a été sournoisement dissimulée et remplacée par la fausse traduction.

Cependant, pour parvenir à la traduction correcte de cette sourate, nous devons analyser chaque mot de son texte arabe, que je vais donner ci-dessous avec le défi lancé au monde entier, y compris aux érudits arabes et non arabes, soit de signaler tout problème grammatical ou erreur de vocabulaire dans ma traduction ou rejeter les fausses traductions de cette sourate et accepter de tout cœur la vraie traduction qui est dérivée dans cet article grâce à une analyse correcte des mots du texte arabe de cette sourate Al Kawthar ("الکوثر" 108).

Sourate 108

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(108:1) إِنَّا أَعْطَيْنَاكَ الْكَوْثَرَ 'Innā 'A`ţaynāka Al-Kawthara
108 1

إِنَّا 'Inna est une combinaison de اَ إِنَّ aa + 'iina dans laquelle إِنَّ 'iina est utilisé comme conjonction, pronom et adverbe et indique les circonstances dans lesquelles une action a lieu ou aussi une manière de décrire une condition ou une action en cours en même temps que l'action principale et c'est aussi un adverbe de temps ou de lieu.

 أَعْطَيْنَا  'A`ţaynāka ; "nous donner"

الْكَوْثَرَ Al-KawtharaLe centre, la projection, la promotion, la prise, le lancement, l'implication, la signification, la poussée, l'élan, la performance, l'accomplissement, la pleine valeur, le soulèvement, la ligne de fond, le noyau, le substantiel, le cœur, l'importance, le point central, la valeur, l'essentiel, le tout, le total, le tronc, la détermination, l'élévation, l'avancement, l'encouragement, la convenance, la fertilité, la croissance, la réplique, la réponse du défendeur (loi), le retour (informel), la réponse, le retour, les représailles, le plaidoyer, la reconnaissance, la contre-action, le contrepoids, la rétroaction, le pot-de-vin, la réversion, la retraite, la participation, l'entrée , l'arrivée, la reprise, la restauration, la réintégration, le mot de remerciement.

 

إِنَّا 'Inna est une combinaison de اَ إِنَّ aa + 'iina dans laquelle إِنَّ 'iina est utilisé comme conjonction, pronom et adverbe pour signifier :

- comme conjonction : que, afin de, de manière à, en vue de et tandis que

- comme pronom : cela, tel, celui, celui-ci, celui-là, lequel, dont, qui, quoi, ceux-ci et celles-là

- comme adverbe. excessivement, la plupart, plus, étroitement et largement

Le suffixe alif (الف) à la fin est généralement appelé «Alif Maqsurah» (الف مقصورۃ) qui suit toujours une fatḥa (vocalisation brève [a])

Cependant, dans la littérature arabe classique et les langues sémitiques, le suffixe alif (à la fin) est un style d'écriture classique dans la littérature arabe classique qui a été hérité de sa langue maternelle hébraïque.

Le même style est utilisé dans le Coran pour le cas accusatif permanent (المنصوب = almansub) avec le suffixe «alif» (الف). De même, le Coran utilise le suffixe «ya» (ی) pour le cas génitif fixe (المجرور = almajrur) et le suffixe «wao» (و) pour le cas nominatif permanent (المرفوع = almarfuea) pour fixer le dialecte, la récitation et la signification de ses déclarations sans avoir besoin des mouvements d'expression (Al-Arab) tels que «Fatha», «Kasra» ou «Damma».

Par conséquent, le Coran a été révélé non seulement sous une forme grammaticale complète et précise, mais il utilise également son propre «système de marqueurs de cas permanents» (الإعراب = al'iierab) au lieu de les utiliser à partir de sources extérieures, qui ont été ajoutées dans le Coran après la mort du Prophète Muhammad (psl) pour inventer un mensonge selon lequel le Coran a été révélé dans 7 styles ou 7 dialectes de récitation. C'était une conspiration maléfique des ennemis du Coran dont le but était de saboter la compréhension réelle du Coran. Par conséquent, le suffixe alif avec « إِن » (Inndonne le son إِنَّ  (Inna) et إِنَّا ('iinaa) dans l'écriture pour faire de  إِن 'iin un cas accusatif (المنصوب = almansub) de façon permanente sans utiliser aucun mouvement externe de «Fatha», c’est un caractère linguistique pour introduire dans l'énoncé le sens d'intensification de l'action montrant le but d'une action, ou une manière qui indique les circonstances dans lesquelles une action a lieu ou aussi une manière de décrire une condition ou une action en cours en même temps que l'action principale et c'est aussi un adverbe de temps ou de lieu.

Cependant,إِنَّا ('iinaaet إِنّ َ (Inna) sont mal traduits dans les traductions conventionnelles du Coran pour signifier "en vérité", "en effet", "sûrement", "vraiment" ou "voici", etc.

 

 أَعْطَيْنَا  'A`ţaynāka

- Le mot suivant أَعْطَيْنَا  'A`ţaynā est une phrase combinée de نَا  + أَعْطَيْ 'A`ţay dans laquelle نَا nā est le pronom objectif personnel de la première personne du pluriel signifiant «notre/à nous» et  أَعْطَيْ 'A`ţay est un verbe conjugué à l’imparfait de la langue arabe classique.

La lettre ی à la fin de l’expression أَعْطَيْ 'A`ţay est en fait un «Gérondif» (sighat alfiel صيغة الفعل), qui est grammaticalement une sorte de nom verbal (الإسم الفعلي al'iism). La seule différence entre un nom verbal et un « gérondif » est qu'un déterminant ou un adjectif vient avant un nom verbal et une phrase prépositionnelle vient après, c'est-à-dire un déterminant + nom verbal /un adjectif + nom verbal/ nom verbal + une phrase prépositionnelle. Cependant, si un adverbe vient avant et un nom verbal et un complément d'objet direct (COD) viennent après, alors dans ce cas le nom verbal est appelé "Gérondif", qui est un nom dérivé d'un verbe (verbe + "ant" ou verbe à l'infinitif) et qui conserve les propriétés de type verbal mais un gérondif est utilisé pour une action continue et il est suivi du complément d’objet (COD) contrairement au nom verbal, c'est-à-dire ADVERBE + GÉROND + COMMPLÉMENT D’OBJET DIRECT. Par conséquent, dans le verset 108:1 إِنَّا 'iinaa est l'adverbe qui vient avant le gérondif  أَعْطَيْ 'A`ţay et l'objet direct نَا nā (forme objective du pronom à la première personne du pluriel) vient après le gérondif  أَعْطَيْ 'A`ţay.

 

*Les pronoms objectifs / pronoms personnels = l’actant (je tu il elle etc...) dans une phrase à la voie active

Les pronoms subjectis / gérondif ; pronoms possessifs, deviennent les COD ou COI (son, sa, nôtre, vôtre etc...) dans une phrase à la voie passive

 

Par conséquent, la structure grammaticale correcte de la phrase إِنَّا أَعْطَيْنَاَ  'iinaa 'A`ţaynā est la suivante : 

إِنَّا 'iinaa (afin) + أَعْطَيْ 'A`ţay (de donner) + نَا nā (à nous) / afin de nous donner.

Le gérondif ou verbe de conjugaisonأَعْطَيْ 'A`ţay est en fait un ordre d'entreprendre une action pour le pronom objectif d'Allah ( نَا nā . Par conséquent, إِنَّا أَعْطَيْنَا 'iinaa 'A`ţaynā ne signifie pas qu'Allah a fait ou donné quelque chose.

Cependant, afin d'apporter, dans le verset suivant 108:2 de cette sourate, la prière païenne Namaz et le rituel païen strictement interdit du sacrifice animal (Qurbani), nos érudits, sans aucune honte, ont déformé le sens de ces mots “إِنَّا أَعْطَيْنَا” 'iinaa 'A`ţaynā et ont faussement traduit ce verset (108:1) par : «Nous vous avons certainement donné Kawthar» ou «Vraiment / Réellement/ Voici ou en effet, nous vous avons donné beaucoup ou l'abondance».

C'est parce que nos savants ont voulu établir leur récit de la tradition (Hadith) où Allah a dit au prophète Muhammad (psl) qu'Il lui a déjà donné beaucoup dans ce monde et qu'Il lui donnera également une rivière « Al Kawthar » dans le paradis. "Alors, priez Namaz pour votre Seigneur et sacrifiez des animaux" (traduction erronée du verset suivant 108:2). 

Par conséquent, pour amener les rituels païens dans l'interprétation du verset 108: 2, nos érudits ont modifié sournoisement et de manière évidente le sens réel du verset 108: 1 afin que les gens acceptent de manière assez cohérente tout ce qu'ils allaient inventer dans la traduction du verset suivant, le verset 108:2.

Non seulement l'analyse grammaticale ci-dessus des mots إِنَّا أَعْطَيْنَا " 'Innā 'A`ţaynā invalide leurs traductions conventionnelles, mais en fait le gérondif ou verbe de conjugaison "أَعْطَيْ " (a’tay) n'est pas au passé car أَعْطَيْ " a’tay est un verbe au présent de l’impératif qui appartient à la forme verbale IV des formes verbales arabes qui est créé en ajoutant la lettre, alif au début de la forme verbale I pour exprimer l’ordre de faire quelque chose. Tels que “اکتب” (aktib = écris) de la racine کَتَبَ” (katab = livre), “افعل (afeal agis) de "فَعَلَ” (faeala = action), "اشرب(ashrib = boisde "شَرَبَ” (sharaba boisson)اجلس (ajlis = asseyez-vous) de “جَلَسَ (jalas = assemblée) et ainsi de suite, dans lesquels les verbes “اکتب”, “افعل”, “اشرب” et “اجلس” avec le préfixe alif sont des verbes à l’impératif ou de commande pour signifier «écris», «agis», «bois» et «assieds-toi». De même, le verbe أَعْطَيْ a’tay avec le préfixe alif est en fait un verbe à l’impératif ou d'ordre de la forme verbale arabe IV pour signifier : attribuer, allouer, approprier, spécifier, autoriser, donner, accorder, payer, offrir, présenter avec, fournir, équipé de, fournir avec, offrir et exécuter.

Malheureusement, cette pratique est systématique dans les traductions du Coran ; les pronoms objectifs/personnels sont toujours traduits en pronoms subjectifs et pour couvrir leur falsification dans le flux de la fausse traduction, les verbes qui suivent ces pronoms objectifs sont également déformés et mis la voie passive et au temps passé (passé composé).

*dans une phrase à la voie active le sujet est auteur de l’action ; le sujet est alors le pronom objectif, ex ; les députés votent les lois/voie active, par contre dans une phrase à la voie passive le sujet subit l’action, le COD devient le sujet c’est le pronom subjectif, ex ; les lois sont votées par les députés/voie passive, sauf que dans le Coran, « les lois » deviennent un sujet qui fait l’action et non un COD, c’est comme s’ils traduisaient « les lois votent les députés »

Pourquoi il ne leur vient pas à l’esprit qu’ils changent la déclaration d'Allah en remplaçant les pronoms objectifs du Coran par les pronoms subjectifs ? Par exemple, ils traduisent la phrase "نَصَرْنَا" (nasarna) pour signifier «Nous avons aidé» ou «Nous avons été aidés» mais la traduction réelle de la même phrase "نَصَرْنَا" (nasarna) est : «Notre victoire». L'expression "أعطني" (aεtini) est couramment utilisée en arabe pour signifier «donne-moi» mais si la même phrase apparaît dans le Coran, elle est mal traduite pour signifier «j'ai donné». Avez-vous vu la malhonnêteté de nos savants infidèles ? Sont-ils vraiment des musulmans qui n'ont pas la moindre crainte d'Allah lorsqu'ils changent le sens de Ses déclarations ? Non seulement l'interprétation du Coran, mais en fait chaque chose de l'islam a été déformée de la même manière par les païens arabes et leurs imams zoroastriens associés. Les musulmans avaient l'habitude de dire Salaam entre eux, mais les Imams zoroastriens y ont apporté leur idole Salaam et l'ont changé en «Assalaam-o-Alaikum» ou «Assalaam-o-Alaikum wa Rahmatullahi wa Barakatuhu». Cela ne fait aucune différence pour les gens ordinaires, mais techniquement, c'est faux parce que "Kum" (کْم) est un pronom objectif à la deuxième personne du pluriel qui signifie "vôtre" au pluriel (les vôtres) Alors à qui vous payez le salaam quand vous dites "As Salaam-o-Alaikum" (السلام علیکم salam sur les vôtres) ou "à qui" vous donnez la bénédiction et la barakah d'Allah quand vous ajoutez Wa Rahmatullahi wa Barakatuhu («Et Que Dieu lui fasse miséricorde et ses bénédictions») ?

Est-ce que ce salaam va à une seule personne ou à plusieurs personnes et à qui d'autre est destiné ce salaam si vous êtes seul? Nous ne connaissons pas la réalité de la prière zoroastrienne et païenne Namaz dans laquelle ils avaient l'habitude d'offrir la paix (salaam) et la bénédiction d'Allah à toutes leurs divinités/idoles sur leur côté droit et toutes leurs divinités idoles sur leur côté gauche en disant " Assalaam-o-Alaikum wa Rahmat Ullah ». Ainsi, ils ont non seulement ajouté cette idole salaam dans la prière Namaz, mais en fait, ils nous ont habitués à commettre ce SHIRK sans le savoir en envoyant le salaam à toutes les divinités même lorsque nous envoyons le salaam à un seul individu.

Envoyer salaam à *Kiraman" et "Katibeen" assis sur nos épaules gauche et droite est encore une fausse croyance qui a été inventée et canonisée dans l'Islam des siècles après le saint prophète Muhammad (psl) pour continuer les rituels païens polythéistes au nom de l'Islam.

*Dans la tradition islamique kiraman et katibin sont deux anges appelés Raqib et Atid , les deux scribes qui enregistrent les actions d’une personne, l’un sur l’épaule droite, l’autre sur l’épaule gauche, qui font le compte des actions d’une personne qui sera envoyée à Jannah ou Jahannam.

 

Cependant, si dans la langue arabe standard l'expression "أعطني" a'tayni (ني = ni +أعط = a'tay) est couramment utilisée pour signifier "donne-moi ", pourquoi "أَعْطَيْنَا" at'yna n'est jamais correctement traduit par "donne-NOUS" car la seule différence entre "أعطني(a'tayni) et "أَعْطَيْنَا(a'tayna) est le pronom objectif/personnel singulier et pluriel dans lequel "ني" niy à la fin de "أعطني" (a'tayni) est le pronom objectif/personnel à la première personne du singulier qui signifie " moi / mon" alors que son pluriel "نَا" na a été utilisé avec la phrase "أَعْطَيْنَا (a'tayna) . Je ne comprends pas comment le verbe dans cette phrase coranique "أَعْطَيْنَا” (a'tayna)  a été déplacé de la forme active impérative (verbe de commande) à le forme passive avec un verbe au passé (passé composé) avec le changement de pronom du singulier au pluriel ? C'est la preuve de la ruse de nos érudits païens, qui ont détruit le sens réel du Coran pour insérer leurs croyances infidèles dans les déclarations du Coran.

De même, le pronom objectif/personnel de la deuxième personne du singulier «كَ» (ka) qui signifier «ton/ta» vient après la phrase «أَعْطَيْنَا» (a'tayna) et le nom défini «الْكَوْثَرَ» (alkawthara) a été placé à la fin de ce verset 108:1. Ces érudits ignorants qui ne croyaient pas aux paroles du Coran n'ont pas traduit le mot "الْكَوْثَرَ" (alkawthara) et ont écrit " Kawther " dans leur traduction et l'ont expliqué comme une rivière du Paradis dans leur exégèse avec la référence du Hadith de Bukhari 4964, 4965, 6581, 7517 dans lequel la croyance anti coranique suivante a été inventée : "Le verset 108:1 du Coran parle d'un basssin aqueux à Mahshar, lorsque tous les humains seront ressuscités et se tiendront à Mahshar après la fin du monde. Lorsqu'un soleil sera placé au-dessus de la tête de chaque humain, cette chaleur soufflera sur le cerveau de l'humain. À ce moment-là, les croyants d'Allah au temps de chaque prophète recevront de l'eau pour réduire la chaleur, et le nom du bassin donné au Prophète Muhammad (psl) sera Kawthar (كوثر)."

C'est la raison pour laquelle j'ai écrit dans les lignes ci-dessus tous les détails grammaticaux de la phrase coranique "أَعْطَيْنَا" (a'tayna) et son verbe à l’impératif (de commande) "أَعْطَي" (a'tay) qui a été utilisée dans le texte arabe du verset 108:1 afin que je puisse apporter devant vous les visages maléfiques des inventeurs de ces faux hadiths et les savants qui les ont suivis ensuite, qui ont altéré le sens des paroles d'Allah juste pour apporter ces mensonges dans les interprétations du Coran.

Le mot coranique "أَعْطَي"  (a'tay) indique l'exécution d'une action continue ou régulière au lieu d'un seul don unique de quelque chose. De plus aucun futur ou aucun participe passé n'est décelable dans ce verbe "أَعْطَي”  (a'tay), qui lui-même défie les faux interprètes du Coran et les faux Hadithfaussement attribués au Prophète Muhammad (psl) et désignés comme référence de  l'interprétation de ce verset 108:1.

En outre, l'utilisation suivante du même mot "أَعْطَيْ" (a'tay) sous la forme standard impérative (ordre) peut être visible dans les phrases de la langue arabe officielle :

أعطى أمرا 'aεtaa 'amran / Donner un ordre.

أعطى تعليمات aεtaa taεlimat / donner des instructions.

أعطى سلطة 'aεtaa sultatan / donner des pouvoirs.

أعطى سندا [قانونية] 'aεtaa sanadan [qanuniatan] / Donner effet (terme juridique).

أعطى صوتا [قانونية] 'aεtaa sawtan [qanuniatan] / Donner le vote (terme légal).

أعطى ضمان [مالية] 'aεtaa daman [maliatin] / Donner une garantie [financière] Indemniser (terme financier).

أعطى ضمانة [قانونية] 'aεtaa damanatan [qanuniatan] / Donner son endossement (terme légal).

أعطى علاوة [مالية] 'aεtaa eilawatan [maliatan] / Donner une augmentation (terme financier).

أعطى فرصة 'aεtaa fursatan / Donner une pause.

أعطى كنتيجة [قانونية] 'aεtaa kanatija [qanuniatin] / donner comme résultat baissier [légal] ; Engendre pour fructifier; Produit; Rendement (terme légal)

أعطى معلومات [سياحة] 'aεtaa kanatija [qanuniatin] / Donner des informations (tourisme).

أعطى مهلة [مالية] 'aεtaa muhlatan [maliatan] / Donner du temps (finances).

أعطى اِسْتِعْلَامًا [مالية] / Fournit des informations (terme financier)

أعطى أَمْرًا [مالية] 'aεtaa 'amran [maliatan] / Émettre une commande (finance).

أعطى تسهيلاً 'aεtaa tshylaan / Autoriser Accommoder.

أعطى تَوْكِيلًا رَسْمِيًّا 'aεtaa tawkilan rasmian / Donner une procuration.

أعطى مالاً مقابل شيء أو تسديد لدين 'aεtaa malaan muqabil shay' 'aw tasdid lidin / donner de l'argent pour quelque chose ou payer une dette ; Régler [juridique].

Tous les termes à l'impératif (verbe à l'infinitf) énoncés ci-dessus de "أَعْطَيْ(a'tay) sont officiellement utilisés dans les départements gouvernementaux et les secteurs publics, ce qui peut être vérifié auprès de l'ambassade saoudienne, des bureaux du gouvernement arabe et auprès des organisations du secteur public des pays arabes.

Par conséquent, le verset 108:1 ci-dessus et d'autres versets du Coran où le même mot"أَعْطَيْ" '(a'tay) a été utilisé et traduit traditionnellement au passé ou au futur est absolument fausse et complètement trompeuse.

 

الْكَوْثَرَ Al-Kawthara

La signification correcte de "الْكَوْثَرَ" (alkawthara) est la suivante : Le centre, la projection, la promotion, la prise, le lancement, l'implication, la signification, la poussée, l'élan, la performance, l'accomplissement, la pleine valeur, le soulèvement, la ligne de fond, le noyau, le substantiel, le cœur, l'importance, le point central, la valeur, l'essentiel, le tout, le total, le tronc, la détermination, l'élévation, l'avancement, l'encouragement, la convenance, la fertilité, la croissance, la réplique, la réponse du défendeur (loi), le retour (informel), la réponse, le retour, les représailles, le plaidoyer, la reconnaissance, la contre-action, le contrepoids, la rétroaction, le pot-de-vin, la réversion, la retraite, la participation, l'entrée , l'arrivée, la reprise, la restauration, la réintégration, le mot de remerciement.

En arabe, le mot كَوْثٌ” (kawthun) signifie ; projeter, lancer, montrer, allumer, cheviller/bloquer, conduire et pousser. C’est un synonyme de "قفش" (qafashu) et "قفشة" (qufshatu) pour signifier attraper, collecter, revenir, répliquer, plaisanter, répliquer, répartie, répondre, représailles, riposte, plaisanterie et croissance (تَكْوِيثٌ takwith) et fécondité (كُوثَةٌ kutha)

Par conséquent, selon l'analyse linguistique ci-dessus, la traduction correcte du verset 108:1 est la suivante :

108 1 correct

(108:1)

إِنَّا أَعْطَيْنَاكَ الْكَوْثَرَ"  'inna 'aetaynak alkawthara"

Afin de nous donner votre concentration complète

(traduction mot à mot correcte 108:1)

 

Maintenant, nous allons analyser le verset suivant 108:2 de la sourate Al Kawthar :

108.2 فَصَلِّ لِرَبِّكَ وَانْحَرْ” Faşalli Lirabbika Wa Anĥar
108 2

108.2

فَصَلِّ لِرَبِّكَ وَٱنْحَرْ

Faşalli Lirabbika Wa Anĥar

Accomplis la Salat pour ton Seigneur et sacrifie.

 

فَ fa

La lettre فَ fa au début de tout mot en fait un fait universel, une réalité vraie et très importante à une échelle élevée ou à un degré superlatif. "صَلِّsali signifie lierrelierconnecterpersuadertraiterrencontrer et suivre.

 

 "صَلِّsall

Ce mot "صَلِّsali du Coran et tous ses dérivés sont toujours traduits à tort pour signifier la prière 5 fois Namaz mais dans l'exégèse et le thésaurus arabe, nos érudits ont défini et convenu de "صلال فرصة" (salal fursat) selon lequel le "مصلّی" (mslly) signifie «un cheval qui court exactement derrière un autre cheval sur les empreintes de ses pas». C'est la définition correcte de "مصلّی" (mslly) qui se trouve également dans la littérature arabe classique et issue de l'ancienne culture arabe. C'est la raison pour laquelle Allah a utilisé la même terminologie de "صلاۃ" (sla) dans le Coran afin que les gens puissent comprendre le sens correct de "صلاۃ" (sla) et ses dérivés. Regardons à nouveau la définition convenue de "صلال فرصة" (salal fursat) dans laquelle il est dit que "مصلّی" (mslly) est celui qui court derrière le cheval exactement sur ses traces. Cela signifie qu'un "adepte" est appelé "مصلّی"(mslly) et "صلاۃ" sla est un nom d'action qui signifie "suivre".

La charnière qui est fixée entre une porte et le cadre est appelée "صل" (sl) en arabe, qui suit le mouvement de la porte, assure le lien entre la porte et le cadre de la porte, relie la porte au cadre de la porte, la connexion entre la porte et un cadre, rencontre et crée un point de rencontre entre la porte et le cadrela charnière est fixée directement sur la porte et sur le cadre de porte, relation entre la porte et un cadre de porte. Ainsi, les fonctions de "صل" sl (Charnières) sont le sens réel de ce mot coranique صلاۃ (sla) et du reste de ses dérivés : Par conséquent, SuivreRencontrerRejoindreAttachementLienRelation et Connexion sont appelés "صلاۃ" (sala) dans le Coran, et ce mot n’a pas du tout le sens d'adoration, de prières ou de Namaz car les dérivés du même mot "صلاۃ" (sala) ont été utilisés dans le Coran pour signifier "suivre Allah", "suivre des idoles ou des divinités", ce mot est utilisé aussi pour le moment de la journée où "la nuit suit le jour" (le crépuscule)est utilisé aussi pour les moments des relations ou de rencontres entre les hommes et les femmes, il est utilisé pour signifier les liens entre les gens, les liens entre Allah et les anges, il est utilisé pour signifier se joindre à quelque chose comme "le feu de l'enfer", etc. Si nous prenons "صلاۃ(sala) et ses dérivés pour signifier adoration, prières ou Namaz, dans ce cas comment interpréter le même mot quand il apparaît dans les versets du Coran  Allah cite les liens criminels avec les feux de l'enfer, est-ce que les criminels font namaz dans les feux de l’enfer ? Ou est-ce que quand les hommes et les femmes établissent des liens entre eux, font namaz entre eux? Ou quand Allah et Ses anges gardent des liens avec le Prophète (psl), est-ce que Allah et les anges font namaz pour le prophète ? Comme il est absurde de dire que les criminels établiront Namaz dans le feu de l'enfer (Jahannum), les hommes et les femmes se lèvent pour Namaz quand ils enlèvent leurs vêtements ou quand ils dorment ensemble, et Allah et Ses anges offrent leur Namaz au prophète (psl) ?

Certaines personnes inventent que si les dérivés de "قمم (qamam), c'est-à-dire "اَقیم" (aqym) etc. viennent avant le mot "صلاۃ" (sala), cela modifie son sens pour établir la prière Namaz et les dérivés de "صلاۃ(sala) sans les dérivés de "قمم"(qamam) signifie salutations ou Daroud (Salat-alan-Nabi) . Ils doivent comprendre que la le sens de la racine des verbes et des noms arabes ne peuvent être modifiés par aucune ingénierie de mots. Par conséquent, la signification du mot coranique "صلاۃ" (sala) et de ses dérivés doivent être traduits de la même manière que tous les autres verbes et noms dans une phrase. Le Coran suit cette règle linguistique et utilise "صلاۃ" (sala) et ses dérivés pour signifier : SuivreJoindreLienRencontrerAttachementRelation et Connexion dans tous les types de phrases. Par conséquent, prendre « صلاۃ » sala et son dérivé pour signifier une manière et une action typiques de culte telles que Namaz (prière) est contraire à la linguistique du Coran.

 

لِرَبِّكَ Lirabbika

La prochaine phrase combinée est لِرَبِّكَ lirabbika = كَ ka رَبِّ rabbi + لِ li dans laquelle لِ (li) est une préposition signifiant «pour/afin de», «dans l'intention de» et « laisser » رَبِّ (rabi) est Seigneur et كَ (ka) est un pronom objectif /personnel de la deuxième personne du singulier pour signifier «ton».

 

وَانْحَرْ " Wa Anĥar

La dernière phrase de ce verset 108: 2 est وَانْحَرْ " Wa Anĥar dans laquelle "وwa est une conjonction qui relie la clause précédente du discours à la clause suivante et انْحَرْ " anhar est un impératif ou un verbe de commande de نْحَرْ " nhar qui est fait en ajoutant Alif au début comme indiqué ci-dessus dans l'explication du verbe impératif de commande "أَعْطَيْ" a'tay qui signifie « faire quelque chose ou entreprendre une action». En dehors de leur signification, il n'y a pas de différence entre le verbe "أَعْطَيْ" a'tay et le verbe انْحَرْ " anhar car les deux verbes sont des verbes impératifs ou de commande, les deux appartiennent à la 4ème forme des verbes arabes et les deux verbes ont été créés en ajoutant alif au début mais pour apporter l’idée que « Allah nous a donné en abondance ou énormément » donc « Il nous a ordonné d'établir la prière Namaz et de sacrifier des animaux en retour ». Bien que cette fausse traduction semble tout à fait logique et convaincante néanmoins Allah n'a pas dit ce que nos savants ont inventé en modifiant le verbe de commande "أَعْطَيْ" a'tay à la voie passive et au passé tout en gardant le verbe "انْحَرْanhar  à l‘impératif ou comme verbe de commande.

Soit les deux verbes "أَعْطَيْa'tay et "انْحَرْ” anhar sont à la voie passive soit les deux sont des verbes de commande à l’impératif. Ces erreurs c'est-à-dire appliquer des verbes standards en dehors des règles grammaticales suffisent pour détruire la véritable déclaration d'Allah, pour introduire les fausses déclarations inventées par les imams persans zoroastriens dans les livres anti-Coran de Hadith. Nous devons comprendre que si Allah a voulu dire ce que nos savants ont faussement inventé, Allah ne manque pas de mots, Il ne commet aucune erreur et Il n'oublie pas. De plus, personne n'a le droit de changer les verbes qu'Allah a utilisés dans Sa déclaration car Lui seul connaît le meilleur et n'aime pas les interférences d'aucune sorte dans Sa constitution.

Quoi qu'il en soit, le verbe “انْحَرْ” (anhar) n'est pas un sacrifice ou la réalisation de sacrifices ou la mise à mort d'animaux. Le verbe de commande انْحَرْ (anhar) est dérivé du mot racine  نحر (nahr). Selon les dictionnaires médicaux, le sens réel du mot arabe نحر (nahr) est «jugulum (gorge)», c'est-à-dire le bas de la gorge ou le cou juste au-dessus de la poitrine. Le même mot arabe نحر (nahr) est également utilisé pour signifier le «bas de la gorge» dans les livres d'anatomie. L'encyclopédie Miller-Keane et le dictionnaire de la médecine, des soins infirmiers et de la santé compilée le définissent comme signifiant «gorge» et le dictionnaire médical Farlex Partner dit: «Il s'agit de toute entrée rétrécie dans une partie creuse». De nombreux autres dictionnaires scientifiques, médicaux, juridiques et généraux définissent ce mot نحر (nahr) comme « gorge » et « Le passage de la bouche au pharynx et toute entrée rétrécie dans une partie creuse». Le dictionnaire médical American Heritage® de Houghton Mifflin le définit comme «la partie du tube digestif qui se situe entre l'arrière de la bouche et l'œsophage et comprend l'arrière-bouche et le pharynx».

Par conséquent, techniquement, le mot coraniqueنحر (nahr) signifie un canal, un tunnel ou un chemin de la bouche à une zone creuse ou vide ou à l'estomac ou au ventre ou une poche/dépense pour le versement de nourriture dans l'estomac.

Outre la définition scientifique et générale reconnue ci-dessus du motنحر (nahr) C'est un synonyme du mot arabe "نفقnfaqa, qui est généralement traduit par "couper" ou "tuer" en raison de l'influence persane sur la langue arabe modifiée. Cependant, les sens étymologiquement corrects du mot arabe "نفقnafaq, sont "métro", "tunnel", "canal", "tube", "passage souterrain", "canalisation", "dépense" et "déboursement". Un «canal radiculaire» est appelé "نَفَقُ الجَذْر" nafaq aljadhr en arabe, qui est un terme dentaire populaire. De même, en science médicale, النَّفَقُ الحَبْلِيّ alnafaq alhabli et النَّفَقُ الحَوضِيُّ alnafaq alhawdiu sont respectivement appelés «canal cordial» et «canal pelvien». Qui ne veut pas chercher le sens de ce mot dans le domaine médical ou la dentisterie ou dans les termes scientifiques, devrait se rappeler que lorsqu’ils se rendent en Arabie Saoudite pour le Hajj ou la Omra, ce même mot نفَق nfaq est écrit sur les tunnels en Arabie Saoudite.

Il y a tellement de passages souterrains et de tunnels à Makkah sur les arches dont les noms sont désignés "نَفَق" nfaq tel ou tel, comme "نّفَقُ الخارِجِيّ" (nnfaq alkhariji = tunnel extérieur), "نفَقُ الدَّاخِلِيّ" (nfaq aldaakhili" tunnel d'entrée ou tunnel interne), "نفق المفسلة(nafaq almufasalati le tunnel Mufassilah), "نفق السلیمانیة" (nafaq alsulymanyt le tunnel Sulaimaniah), "نفق المیقات("nafaq almuyqati" le tunnel Meeqat) ou "نفق الجمرات(nafaq aljamarati le tunnel Jamrat) etc.

Tunnel 1Vous pouvez voir les panneaux affichés sur les photographies ci-dessus des tunnels saoudiens près de La Mecque sur lesquels les noms des tunnels sont clairement écrits. Dans la première image de gauche à droite "المفسلة نفق(almufasalat nafaqa tunnel Al Mufsila) et "السلیمانیة نفق" (alsuluymanyt nafaqa tunnel Al Sulemania) est montré dans l'image suivante. Vous pouvez voir "نفق المیقات" (nafaq almuyqati Tunnel Al Meeqat) sur la 3ème photo et "نفق الجمرات" (nafaq aljamarati Tunnel Al Jamrat) sur la 4ème photo respectivement.

Tunnels sur google

 

De plus, si vous écrivez "نفق" (nfaqa) sur google, cliquez sur « images » et entrez, vous trouverez des images du tunnel comme on le voit dans la sérigraphie suivante, qui est en soi une preuve que la signification correcte du mot arabe نفق" (nfaqa) et de ses dérivés comme "یْنفِقون" (ynfiqwn) etc. signifie creuser un tunnel, canalisation et faire des dépenses pour le décaissement d'une extrémité à l'autre extrémité vide (faire passer une chose par un passage d’une extrémité du passage vers l’autre extrémité qui est vide).

Cependant, lorsque les mêmes mots viennent dans le Coran, ils sont traduits pour signifier "couper", "tuer", "hacher" et "trancher", etc. C'est parce que les érudits ignorants et leurs disciples aveugles dérivent à tort ces mots coraniques ینفقون  (ynfiqwn) etc.) du mot persan similaire "نفاق" (nifaqi) qui signifie "division", "discorde", "diviser" et "couper" en langue persane. Si le Coran arabe n'a pas été révélé en langue persane ni sur un prophète persan, alors pourquoi les imams persans et leurs disciples ont-ils remplacé les mots arabes du Coran par des mots persans similaires tout au long de la traduction du Coran ? Cela a été fait exprès pour cacher le message réel du Coran et détourner l'attention des lecteurs de la déclaration réelle du Coran et pour les égarer de la compréhension des ordres d'Allah révélés dans le Coran arabe.

J'ai assisté aux cours d'enseignement du Coran de Sunnies, Ahle Hadith et Ahle Quran mais malheureusement tous sont bien confus dans le concept des mots coraniques نفق nafiq et ینفقون ynfiqun et au nom de Dars-e-Quran ils véhiculent le même message trompeur aux autres, qui a été inventé par l’alliance des païens arabes et des imams persans zoroastriens au début de la conspiration de l'Islam. C'est la raison pour laquelle j'insiste toujours auprès des compagnons coraniques pour qu'ils évitent de transmettre le message du Coran verbalement ou par écrit sur la base de la traduction existante du Coran, à moins qu'ils ne traduisent d'abord correctement les mots des versets pertinents du Coran et qu’ils éliminent de leur pensée la fausse traduction des érudits traditionnels et tout ce qu'ils ont appris au sujet du Coran, car tout ce que nous décrivons et expliquons dans le Dars-e-Quran sur la base de nos connaissances existantes est absolument faux. De même, tout ce que nous avons écrit sur la base des traductions de nos érudits est également faux.   

Par conséquent, il est absolument faux de prendre les mots coraniques نفق nafiq et ینفقون ynfiqun comme signifiant couper, hacher, trancher sur la base de nos fausses connaissances et traduire les phrases coraniques telles que celle du verset 2-254 "وَمِمَّا رَزَقْنَاهُمْ يُنْفِقُونَ" ('Anfiqū Mimmā Razaqnākum) dépensent/ tranchent de ce que nous leur avons provisionnés "رزق" Razaq (provisions) est également faux. Lorsque nous disons couper de leur ou de nôtre "Rizq/ provision", la question se pose de quelle quantité de provision? Nous n'avons pas de réponse précise à cette question si ce n'est de dire une partie de nos revenus ou provision. Une réponse qui amène une autre question n’est pas une réponse. Peu importe que nous soyons chiites, sunnites, Ahle Hadith ou Ahle Quan, mais la portion de "رزق" Rizq (provision) est inconnue si nous traduisons le mot  نفق nafiq par «couper» et les érudits ont gardé cette confusion dans l’héritage de leurs ancêtres : les Imams persans qui étaient en fait les ennemis du Coran et les ennemis de notre bien-aimé Prophète Muhammad (pssl).

Cependant, si nous acceptons avec ouverture d'esprit cette réalité que nous avons intégré la fausse connaissance du Coran et que nous ne savons pas réellement les délcarations du Coran, nous sortirons définitivement de ce dilemme déroutant. Si nous utilisons le sens correct des mots « نفق » "nfaqa" et son dérivé "ینفقون" "ynfaquna" alors la traduction correcte de ;

Feuilles de papier parchemin modele2 verset 2 3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Verset 2 195 feuilles de papier parchemin modele2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les inflexibles qui ne font toujours pas la différence entre "couper une portion" et "faire un canal ou un tunnel de déboursement ou dégrèvement" devraient comprendre que le tunnel est un moyen de trafic continu sans escale d'un bout à l'autre mais couper, trancher ou proportionner n'est qu'un acte ponctuel. Par conséquent, au début de la conspiration islamique, la signification réelle du mot arab "نفق" (nfaqa) et de son dérivé "ینفقون" (ynfaquna) a été modifiée dans la traduction initiale et dans l'exégèse du Coran pour promouvoir la charité annuelle de "Ram Dan" ou "Rama Dan" des anciens hindous qui faisait parti du mode de vie védique de l'ancien empire hindou du roi Vikrama, le Ramdan des anciens hindous a été introduit dans la culture païenne arabe préislamique avec le "رمضان " (Ramadan) et a prévalu dans toute la péninsule arabique.

Ainsi, dans l'Islam modifié, le processus continu ininterrompu de "نفق" (nfaqa) a été remplacé par la coupe caritative annuelle du Ramadan préislamique. Considérant que, le Coran définit "زکوۃ" (Zakat) avec le mot arabe "نفق(nfaqa) et ses dérivés tels que "ینفقون" (ynfaquna) pour nous faire comprendre que la Zakat qui nous est imposée par Allah n'est pas une coupe unique mais un canal régulier d'approvisionnement flux d'une personne à une autre et c'est un tunnel débordant de subsistance disponible pour tout le monde et un passage de prospérité et de flux de trésorerie au profit de l'humanité

Verset 2 254 feuilles de papier parchemin modele2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par conséquent, le mot « انْحَرْ » (anhar) du verset 108:2 de la sourate Al Kawthar est un verbe à l’impératif (de commande), qui est un ordre de canaliser, de traverser, de transporter d'un point à un autre, d'offrir ou de livrer d'un bout à l'autre. un autre, compétent, maniable et consommé.

Le mot « نْحَرْ » (anharest également un terme financier et technique reconnu «خطة يرتد أذاها إلى نحر صاحبها » "khutat yartadu 'adhaha 'iilaa nahr sahibiha" (Un plan dont le mal est retourné à son propriétaire) qui est utilisé pour désigner le boomerang qui est techniquement appelé « rebond », « recul » ou « retour ». Les ingénieurs en chaudière ou ceux qui ont une certaine connaissance des chaudières et du système de chauffage peuvent comprendre ce mot coranique " نْحَرْ " (anhar) à partir de l'exemple du "tuyau de retour" de la chaudière, du radiateur ou de tout système de chauffage qui "renvoie" l'eau chaude (une fourniture d'énergie thermique ) vers et depuis la source pour maintenir tous les radiateurs avec un flux de chaleur égal dans tout le local. Ainsi, le mot coranique " انْحَرْ (anhar) de la sourate Al Kawthar nous exhorte avec un ordre essentiel de rendre aux autres la subsistance, la provision ou le Rizq qui nous a été donné par Allah.

Cependant, la signification réelle de ce mot « انْحَرْ » (anhar) a été remplacée par sacrifice d'animaux pour introduire dans le Coran un rituel païen préislamique consistant à faire grandir les dieux avec du sang et de la viande d'animaux en tuant brutalement des animaux au nom du sacrifice. Ainsi, ceux qui traduisent ce mot « انْحَرْ » (anhar) pour signifier « égorger les animaux » devraient s'égorger au lieu d'égorger les animaux car ils font faussement vingt deux de 2 et 2, il n'y a aucune référence aux animaux dans cette sourate Al Kawthar 108 que nous étudions. Par conséquent, la traduction correcte du verset 108:2 de la sourate Al Kawthar est la suivante :

108 2 correct 1

(108:2) 

فَصَلِّ لِرَبِّكَ وَانْحَرْ 

Faşalli Lirabbika Wa Anĥar

Alors, en fait, sois un disciple de ton Seigneur et transmets le déboursement/dépôt"

(Alors ton Seigneur doit être suivi par la transmission du dépôt, en retour)

 

 

 

Analyse du verset 108.3

 

إِنَّ شَانِئَكَ هُوَ الْأَبْتَرُ(108:3) 'Inna Shāni'aka Huwa Al-'Abtaru
108 3
 

 

La traduction conventionnelle du verset suivant 108:3 par "Celui qui te hait sera certes, sans postérité" est non seulement absurde, mais elle suscite également des commentaires honteux de la part de ceux qui croient que le Coran n'est pas une véritable révélation de Dieu. C'est parce que tout ce qui a été faussement inventé dans les traductions conventionnelles de ce verset 108:3 n'existe pas et est contre la réalité des faits. En quoi les affirmations de ces traductions sont-elles vraies dans lesquelles il est dit : "Quiconque vous hait restera lui-même sans enfant ou En effet vos ennemis et adversaires seront sans enfant" ???

Est-il vrai que les ennemis du Prophète Muhammad (pssl), les ennemis de l'islam et les ennemis des musulmans étaient ou sont sans enfant ?? Si tel est le cas, alors beaucoup d'érudits musulmans réputés n’auraient pas du avoir d'enfant ! Aussi qui sont-ils et qui sont réellement ceux qui ne ménagent aucun effort pour s'opposer à l'islam et nuire à la réputation de notre saint prophète Muhammad (pssl) ?? Ne sont-ils pas de la descendance des ennemis du prophète et des ennemis de l'islam ? Pensez-vous sérieusement que les non-musulmans ou les anti-islam ne donnent pas naissance à leurs enfants et qu'ils restent tous sans enfant ? Certains érudits ont inventé que les ennemis seront détruits et certains ont dit qu'ils ne prospéreront pas. Les haineux de l’islam sont-ils vraiment détruits ou sommes-nous en train de supplier pour notre prospérité ? En plus de cela, de nombreux érudits ont dit dans leur exégèse du même verset (108 : 3) que les ennemis du Prophète (psl) seront "sans queue" ou "leur queue sera coupée". Le Coran a-t-il été révélé à l'ère pré-évolution lorsque l'homme était censé avoir "une queue" ?

Je ne comprends pas pourquoi nous ne rejetons pas et ne jetons pas ces mensonges qui ont été délibérément inventés pour dégrader le Coran et pour blâmer Allah qui (Seigneur pardonne nous) aurait fait de fausses déclarations dans le Coran qui sont contraires à la réalité.

Cependant, pour parvenir à la traduction correcte de ce verset nous devrons analyser les mots du texte arabe.

 

« إِنَّ » 'Inna

Le premier mot du verset 108:3 « إِنَّ » 'Inna a été expliqué ci-dessus dans l'analyse du premier verset 108:1 de la sourate Al Kawthar pour signifier : que, afin de, de manière à, en vue de, tandis que, tel, cela, celui-là, lequel, dont, qui, quoi, ceux-ci, ceux-là, excessivement, le plus, le plus, de près et largement.

 

« شَانِئَكَ » Shāni'aka 

Alors que « شَانِئَكَ » Shāni'aka est une phrase composée de ka « كَ » +Shāni'a « شَانِئَ » dans laquelle « كَ » ka est le pronom objectif de la deuxième personne du singulier pour signifier « vôtre » et Shāni'a « شَانِئَ » est appelé "un nom d’importance" (اسم أهَمّيّة = asim ahammy) un "nom de condition" (اسم حال = sum hal), un "nom d'association" (اسم دَخْل = asm dakhl), "un nom d'issue" (اسم مَسْألَة = asm masala) et un "nom de statut" (اسم مَقَام = asm maqam) dérivé du mot "شَأْنٍ" (shanin) qui signifie : important, importance, signification, grandeur, pesanteur (état d'être pesant), importance capitale, gravité, grandeur, valeur, mérite, sérieux, qualité d'être sérieux, grandeur, majesté, préoccupation, position, statut, rang, figure, condition , état, situation, cas, occurrence de quelque chose, conditions particulières relatives à une personne ou à une chose, occurrence d'un état pathologique (terme médical), état actuel des choses, nature, qualité et caractère de quelque chose ou de quelqu'un, un ensemble de circonstances ou d'une position dans laquelle on se trouve, entreprise, préoccupation, connexion, relation, joug, un lien d'union, notamment celui du mariage, action de s'associer ou d'être associé, être en compagnie de quelqu'un, amitié ; Alliance; partenariat, union, combinaison, lien, corrélation, une chose pour laquelle on a un intérêt ou qui est importante pour soi, état de se joindre, d’enchaîner en séquence ou dans un ordre quelconque, d'associer en occurrences ou l'action de se joindre ou d'être connecté ou deux choses sont connectées ou chose qui se connecte pour relier, toucher, coopérer ou communiquer ensemble, relation entre deux choses dans lesquelles l'une est causée ou affectée par l'autre, réseau de connexions entre un certain nombre de personnes, de choses ou d'idées, la qualité d'être lié à ce qui est discuté, association entre ce qui se passe et ce qui se faitobligation/devoir juste, tâche, affaire ; Sujet, matière, action, affaires, cas, préoccupation, problème, événement, se déroulant, chose à faire, exemple de l'occurrence de quelque chose, affirmation d'un droit, acte de revendication ou droit de demander, relation ou connexion à propos de quelque chose qui nous intéresse ou qui est important pour nous, acte de demander quelque chose en discours ou écrit, surtout poliment, sujet, thème, matière ou subalterne ou citoyen, une proposition générale prouvée par une chaîne de raisonnement, une question à discuter ou à décider ou à voter; un problème nécessitant une réponse ou une solution, un sujet de préoccupation selon les conditions, une réclamation de toute nature, une demande, une ordonnance, une affaire portée devant un tribunal ou un principe à défendre ou pour lequel vous devez vous battre, quelque chose auquel vous devez penser ou traiter avec, en relation avec le déclaration ; palier;  omaine; champ; royaume; pertinence; sphère; sujet, valeur, marque et action.

Une expression populaire «شأن سياسي » (shan siasi) est utilisée dans l'administration arabe comme terme politique pour signifier « affaire politique » et l'expression « شَأْنٍ حربی » (shan harbiyest utilisée pour « guerre » ou pour une « action militaire ».

Une expression "فِي شأن(fi shani) est utilisée dans tous les pays arabes comme terme financier pour signifier "en raison de". L'expression populaire "صاحب شأن(sahib shanisignifiant "partie intéressée" est utilisée comme terme commercial dans tout le Moyen-Orient, y compris l'Arabie saoudite, et une utilisation intensive de la même expression "صاحب شأن(sahib shani) dans le même sens peut être vue dans le système bancaire arabe de toutes les banques arabes et dans le secteur financier de la langue Arabe.

Un terme juridique "شأن مباشر(shan mubashirun) signifiant "intérêt direct" est utilisé dans le système juridique de toute l'Arabie saoudite et du reste des pays arabes. Le mot "شأن(shanu) est lui-même utilisé comme terme juridique pour signifier "valable" et "important" dans le système juridique de l'Arabie saoudite et du reste des pays arabes. Un terme commercial commun "شأن التجارة(shan altijarati) est utilisé par la convention des Nations Unies et signifie "lettre de crédit".

Cependant, le même mot arabe du Coran est traduit par "hostilité", "inimitié" et "haine" à cause de la méchanceté et de la malhonnêteté de nos soi-disant savants. Si le Coran avait été révélé autrement qu'en langue arabe, Allah n'aurait pas dit dans le Coran qu'Il a fait et révélé le Coran en arabe direct et simple afin que personne n'ait d'excuse de ne pas comprendre le Coran s’il était dans une langue étrangère. Par conséquent, le Coran a été révélé dans leur propre langue arabe commune qu'ils utilisent dans leur vie quotidienne et qu'ils comprennent très bien. Si tel est le cas, alors dans quelle langue le mot "شأن(shanu)  signifie "hostilité" ? Le même mot arabe "شأن(shanu) est également utilisé comme nom de famille de nombreux Arabes tels que "احمدبن شنان العمري" (Ahmad Bin Shan Al Umri), "بشير بن شنانBasheer Bin Shan),"جابر بن شنان(Jabir Bin Shan), "حامد بن شنان اﻻحبابي (Hamid Bin Shan Al Ahbabi) et  "جاسر شنان ابو دواس" (Jasir Shan Abu Dawas) etc.

Les noms mentionnés ci-dessus peuvent être vérifiés et trouvés sur Internet pour la vérification de ma déclaration.

Cependant, le but de porter les noms ci-dessus à votre aimable attention est d'établir que si le mot arabe "شأن(shanu) signifie vraiment "hostilité", "inimitié" et "haine" dans la culture arabe ou dans la langue arabe (y compris l’arabe classique et moderne) pourquoi utilise ce mot dans leur nom ? Aimeriez-vous porter les noms "hostilité", "inimitié" et "haine" comme nom de famille ? Il suffit de réfléchir et de se rendre compte que personne ne voudrait porter un nom qui signifie "hostilité", "inimitié" et "haine" pour définir sa personnalité ou dans sa lignée familiale. De plus, si "شان(shanu) signifie hostilité, inimitié et haine, alors quelle est la signification des expressions telles que "شان نزول"(shan nizul), "شان رسول(shan rasul), "اللہ جلِّ شانہْ(allah jli shanh), qui ont été largement utilisées dans l'exégèse de nos érudits hypocrites et dans le libellé du Hadith?

 

Les imams persans zoroastriens et leurs disciples ont joué un jeu diabolique avec les mots du Coran en prenant leur sens à partir de fausses racines.

C'est la raison pour laquelle le mot  شَنَآنُ” (shanaan) que l'on peut trouver dans les versets  5.2 et 5.8

Verset 5 2 feuilles de papier parchemin modele2

 

شَنَآنُ قَوْمٍ أَنْ صَدُّوكُمْ” (5:2)" (Shana'ānu Qawmin 'An Şaddūkum)

Verset 5 8 feuilles de papier parchemin modele2

 

 et  شَنَآنُ قَوْمٍ عَلَىٰ أَلَّا تَعْدِلُوا” (5:8)" (Shana'ānu Qawmin `Alá 'Allā Ta`dilū A`dilū) 

dérivé d’un mot racine différent "شنا" (shana) qui a été spécialement inventé pour déformer les déclarations des versets ci-dessus, y compris le verset 108: 3 que nous étudions.

 

 

 

Alors qu'ils dérivent le mot "شان(shan) dans les versets 24.62, 10.61, 55.29, 80.37 d'une racine différente 
24 62(24:62شَأْنِهِمْ (Sha'nihim) traduit par "une affaire personnelle"
10 61تَكُونُ فِي شَأْنٍ" , (61 -10وَمَا (Wa Mā Takūnu Fī Sha'nin)/ traduit par "situation"
55 29كُ لَّ يَوْمٍ هُوَ فِي شَأْنٍ » (55:29) (Kulla Yawmin Huwa Fī Sha'nin) traduit par "une affaire nouvelle"
80 37et يَوْمَئِذٍ شَأْنٌ يُغْنِيهِ" (80:37) " (Yawma'idhin Sha'nun Yughnīhi) du mot « شان »(shan) traduit par "cas/affaire"

 

 

De plus, le motشَانِئَ”(shana) de l'expression شَانِئَكَ”(shana'akdu verset (108:3) de la Sourate Al Kawthar est clairement شَان” (ئَ +شَانِ)" [shani (y + shan)] qui aurait dû être placé avec les versets où le mot "شان(shan) est traduit par "situation" ou "important" tels que :

تَكُونُ فِي شَأْنٍ" , (61-10) وَمَا(Wa Mā Takūnu Fī Sha'nin) «dans aucune situation»,

(24:62شَأْنِهِمْ (Sha'nihim) «leur situation»,

"كُ لَّ يَوْمٍ هُوَ فِي شَأْنٍ » (55:29) (Kulla Yawmin Huwa Fī Sha'nin) «chaque jour compte/est important» ou «chaque jour il accomplit une oeuvre nouvelle»

mais le verset 108:3 de la sourate Al Kawthar, qui contient le mot "شَان" (ئَ +شَانِ)[shani (y + shan)de la phrase "شَانِئَكَ(shaniaka) a été volontairement placé avec les versets du mot "شَنَآنُ(shananu) traduit par "rancune" et "haine" tel que

شَنَآنُ قَو ْمٍ أَنْ صَدُّوكُمْ” (5:2)" (Shana'ānu Qawmin 'An Şaddūkum) « Et ne laissez pas la haine pour un peuple qui vous a obstrué la route » et

شَنَآنُ قَوْمٍ عَلَىٰ أَلَّا تَعْدِلُوا" (5:8)" (Shana'ānu Qawmin `Alá 'Allā Ta`dilū A`dilū) «C'est la rancune d'un peuple que vous ne rendiez pas justice»

pour cacher le sens réel du verset 108:3 de la sourate Al Kawthar.

S’il vous plaît veuillez consulter la tricherie indiquée ci-dessus dans les copies d'écran suivantes d'un site Web populaire de traduction mot à mot du Coran et du dictionnaire du Coran "The Quranic Arabic Corpus"

Quran dictionary 1

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Malheureusement, ils s'appellent eux-mêmes des érudits musulmans du Coran qui trichent avec les paroles d'Allah. Ce n'est qu'un exemple de triche mais si vous regardez les interprétations et l'exégèse du reste des érudits coraniques, vous les trouverez encore pires. Les savants traditionnels dont Yousuf Ali, Ahmed Ali, Ahmed Raza Khan, Fateh Muhammad Jalandhary, Mehmood Al Hassan, Asad, Abul Ala Maududi, Tahir Al Qadri, les traducteurs conventionnels dont Literal, Pickthal, Arberry, Shakir, Sarwer, H/K/ Sahih, Malik, Qaribullah et les autres ont donné une traduction trompeuse et les érudits coranistes Khalifa, le traducteur Free Minds, les experts du Coran QXP Shabbir Ahmed et GA Parwez ont également inventé des mensonges dans l'interprétation de tous les versets de la sourate Alkawthar (108).

Comme nous l'avons vu plus haut, l'hostilité, l'inimitié et la haine ne sont pas le sens correct de ce mot coranique « شان » (Shan). Par conséquent, pour parvenir à la conclusion sans plus de confusion, je voudrais présenter les mots arabes corrects qui ont été utilisés par les Arabes pour l'hostilité, l'inimitié, la haine et pour tous les autres mots similaires inventés par nos savants pour traduire le mot "شان(Shan).du verset 108:3.

L'hostilité est appeléeعداء” (eada'i), l'inimitié est appelée عداوة” (eadawa) et la haine est appelée كراهية” (krahiat) et حقد” (haqda) en arabe. Alors que la dispute s'appelle "خصومة(khsumatun) et la colère avec haine s'appelle "ضغينة(dghaynatun) en langue arabe. Ainsi, sans parler du verset 108: 3 de la sourate Al Kawthar, l'inimitié, la haine et l'hostilité ne sont même pas mentionnées dans le verset شَنَآنُ قَوْمٍ أَنْ صَدُّوكُمْ" (5:2)" (Shana'ānu Qawmin 'An Şaddūkumdans lequel le mot "شَنَآنُ(shananua été utilisé pour signifier conséquence de l’action ou de l’acte "قَوْمٍ أَنْ صَدُّوكُمْ(Qawmin 'An Şaddūkum) de ces gens qui vous ont arrêté ou qui vous ont repoussés.

 

« هُوَ » (Huwa)

Après l'analyse de la phrase « شَانِئَكَ » (shaniaka) du verset 108:3 de la sourate Al Kawthar, nous passons au mot suivant « هُوَ » (Huwa) qui est un pronom subjectif de la 3ème personne du singulier et l’auxiliaire du verbe « être » pour signifier «est» . Selon la grammaire arabe, « هُوَ » (Huwa) est utilisé comme verbe auxiliaire s'il est accompagné du nom défini commençant par l'article défini « ال » (al), tel que « هٰذاهْوَالكِتاب » (hdhah walkitab ceci est le livre) ou « هٰذاهْوَالقلم » (hdhah walqalam ceci est le stylo ). Cette règle grammaticale est observée dans les phrases arabes régulières avec le Coran. Le même mot « هُوَ » (Huwa) est utilisé comme pronom uniquement s'il est accompagné de mots indéfinis (sans l'article « ال » (al) tels que : « هو حسن الوجه » (hu hasan alwajha Il a un beau visage) ou « قُلْ هُوَ أَذًى» (2:222) » (Qul Huwa 'Adháan = dis : c’est un mal). Ainsi, le mot « ھْو » (Huwa) dans la phrase « ھو حسن الوجه » (hu hasan alwajha Il a un beau visage) est traité comme un pronom pour signifier « Il » et dans la phrase « قُلْ هُوَ أَذًى » (Qul Huwa 'Adháan = dis : c’est un mal), il est considéré comme signifiant « cela » en tant que pronom. Les règles grammaticales régissant l'utilisation et la traduction correcte de ce mot " هُوَ (Huwa) ont été bien expliquées dans mes articles précédents et peuvent être vues dans n'importe quelle grammaire réputée de la langue arabe.

Cependant, en traduisant ce verbe aidant « هُوَ » (Huwa) pour signifier «celui qui» dans le verset 108:3 de la sourate Al Kauthar et dans tant d'autres versets du Coran où « هُوَ” (Huwa) vient avec un nom commençant par l'article défini (ال(al) nos érudits ignorants ont montré leurs visages méchants et prouvé qu'ils ne sont même pas familiers avec l'alphabet et la grammaire arabe et encore moins avec la linguistique de tout le Coran. Ainsi, selon la grammaire arabe correcte et mondialement reconnue, le mot « هُوَ » (Huwa) signifie « est » dans le verset 108:3 de la sourate Al Kawthar.

 

«الْأَبْتَرُ» (Al-'Abtaru)

Le mot suivant du même verset est «الْأَبْتَرُ» (Al-'Abtaru) c’est un nom défini avec le préfixe « ال » (al) qui est utilisé pour mentionner un élément particulier. Le nom défini «الْأَبْتَرُ» (Al-'Abtaru) est à nouveau traduit à tort pour signifier « sans enfant » mais être sans enfant n’est pas de l’ordre d’un cas particulier connu que l’on pourrait préfixé avec l’article préfixe « ال » (al), car le fait de ne pas avoir d'enfant ou de ne pas avoir d'enfant est assez courant chez les gens. Certains érudits traduisent le même nom défini « الْأَبْتَرُ » (Al-'Abtarupour signifier «pas de bien», « sans prospérité » et « perdant », ce qui est également faux, car "perdre", "ne pas avoir de bien" et "ne pas avoir de prospérité" sont également des facteurs communs entre les personnes qui ne peuvent être décrits par un nom défini qui indique seulement un type particulier de domaine, une action particulière et une chose particulière. Ces animaux blasphématoires qui ont inventé une plaisanterie odieuse de "couper une queue" à partir de ce mot « الْأَبْتَرُ » (Al-'Abtaru) Ils auraient pu avoir une queue dans le dos, mais une telle queue ne se trouve pas et n'existe pas dans le corps humain.

Le nom défini « الْأَبْتَرُ » (Al-'Abtaru) est en fait dérivé du mot racine « بتر » (btir) qui signifie «coupure/isolé», «quai», «port», « embarquement », « débarquement », « jetée », « embarcadère» « attraper », « mettre fin », «raccrocher/annuler/décommander», « séparer de », « destination », « accoster », "ancrer", "verrouiller", "lien", attacher", "accoster/ficeler/bloquer", " réalisation », « accomplissement », « achèvement » et « objectif final ».

Ceux qui connaissent bien l'anglais comprennent l'utilisation et le sens correct de "cut-off", qui ne consiste pas à couper ou diviser quelque chose mais à terminer quelque chose, comme lorsque nous voyons quelque chose fonctionner ou quelque chose se passer comme une vente ou une exposition ou toute autre chose, nous demandons généralement leur date de « coupure/in » ou leur heure de «coupure/fin». Les mêmes mots sont utilisés en arabe ou dans d'autres langues pour un "point limite" de quelque chose. Ainsi, le Coran a utilisé le mot «الْأَبْتَرُ» (Al-'Abtaru) pour signifier «le moment de la fin/coupure» de l'action ( شَانِئَ  = shania) de personnes particulières qui tendent la main à Allah et suivent Ses commandements, qui est en fait leur « but final », leur « destination », leur « accomplissement », leur «débarquement», leur « port » et leur « épanouissement ». C'est le point de «coupure /fin» des êtres humains particuliers qui a été mentionné par le mot coranique «الْأَبْتَرُ» (Al-'Abtaru).

Ainsi, la traduction correcte du verset 108:3 est la suivante :

 

108 3 correct

إِنَّ شَانِئَكَ هُوَ الْأَبْتَرُ” (108:3)

'Inna Shāni'aka Huwa Al-'Abtaru

C'est l'accomplissement de votre action valable.

(traduction mot à mot correcte du verset 108: 3 de la sourate Al Kawthar)

 

 

La traduction mot à mot absolument vraie de la sourate Al Kawthar complète (108) est la suivante :

 

108 1 correct
108 2 correct
108 3 correct

 

 

 

Salutations,

 

Dr. Kashif Khan

 

quranguide@hotmail.com

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