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Pas sur le sable

LES ÉRUDITS CORANISTES ET TRADITIONNELS ONT INVENTÉ DES MENSONGES DANS L'INTERPRÉTATION DU VERSET 17:1

Le 26/06/2023 0

Isra ; rélle signification de "Isra" du verset 17-1, le voyage nocturne du prophète de la tradition.

LES ÉRUDITS CORANISTES ET TRADITIONNELS

ONT INVENTÉ DES MENSONGES

DANS L'INTERPRÉTATION DU VERSET 17:1,

 

SIGNIFICATION CORRECTE DE MASJID AL AQSA ET MASJID AL HARAM

QUESTION:

Quelle est la traduction de "SUBHANA AL-LADHI "ASRA BI-'ABDI-HI LAYLANM MINA AL-MASJIDI AL-HARAMI" ILA AL-MASJIDI AL-"AQSAAL-LADHI BARAKNA HAWLA-HU LI-NU-RIYA-HU MIN" AYATINE "IN-NA-HU HUWA AL-S-SAMI-'U AL-BASIRU" ?

Mohammed Sabir

RÉPONSE

Sourate Al Isra verset 17:1

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Verset 17.1

سُبْحَانَ الَّذِي أَسْرَى بِعَبْدِهِ لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ إِلَى الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى الَّذِي بَارَكْنَا حَوْلَهُ لِنُرِيَهُ مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ

Subĥāna Al-Ladhī 'Asrá Bi`abdihi Laylāan Mina Al-Masjidi Al-Ĥarāmi 'Ilá Al-Masjidi Al-'Aqşá Al-Ladhī Bāraknā Ĥawlahu Linuriyahu Min 'Āyātinā 'Innahu Huwa Al-Samī’u Al-Başīru

Traduction trompeuse des savants traditionnels :

Gloire à (Allah) qui a emmené Son serviteur dans un voyage nocturne de la Mosquée sacrée à la Mosquée la plus éloignée, dont Nous avons béni l'enceinte, - afin que Nous puissions lui montrer certains de Nos signes, car c'est Lui qui écoute et voit (toutes choses) -

Al Isra 17: 1 Traduit par Yousuf Ali

Le reste des traductions traditionnelles de ce verset sont plus ou moins identiques.

 

Traduction trompeuse des érudits coranistes :

À la page 636 de "Mafhoom ul Quran", le savant coraniste M. GA Parwez a inventé qu'en raison de l'opposition prolongée du Prophète (psl), ses ennemis avaient finalement secrètement élaboré un plan pour le tuer, mais le plan de Dieu était plus élevé que les leurs et ils n’en avaient aucune idée. Ainsi, selon Son plan, Dieu a emmené son serviteur de Bait Al Haram Makkah dans le vaste pays de Médine dans la nuit afin qu'il organise le plan de Dieu dans un endroit plus éloigné. Nous avons rendu ce lieu et ses alentours bénis, afin que Son environnement soit le plus approprié pour la révolution. Dieu a fait tout cela afin de divulguer des choses très importantes qui avaient été promises depuis longtemps. En effet, Il est L’Audient et Le Clairvoyant, qui fait que chacune de ses décisions était pleine de sagesse. (Traduit de l'ourdou vers l'anglais)

Glorieux est Celui qui a initié la migration de nuit de Son serviteur de la Masjid sacrée à la Masjid éloignée dont Nous avons béni les environs afin que Nous puissions lui montrer Nos Signes.

(20:23) لِنُرِيَكَ مِنْ ءَايَٰتِنَا ٱلْكُبْرَى (Linuriyaka Min 'Āyātinā Al-Kubrá).

(Que le Système Divin commencera à prévaloir à partir de là). En vérité, Il est l'Audient, Le Clairvoyant Traduction de 20-23 de Expert du Coran Shabbir Ahmed)

(afin que Nous te fassions voir de Nos prodiges les plus importants ; Traduction traditionaliste de 20-23)

Les imams persans polythéistes zoroastriens ont falsifié le verset 17: 1 ci-dessus pour introduire dans l'Islam leur prière Parsi Namaz et ont inventé la fausse histoire de  "Mai’râj"  (ascension - le voyage nocturne (‘Isrâ’) du Prophète vers les cieux via Masjid Al Aqsa pendant lequel il a reçu les prières de contact Namaz et Mai’râj). Les érudits traditionnels ont suivi aveuglément la même traduction de ce verset qui a été donnée par l’alliance entre les païens arabes vaincus en 630 et les ennemis perses polythéistes zoroastriens de l'Islam.

Cependant, les érudits coranistes comme GA Parwez, Abdullah chakralawi et Shabbir Ahmed ont compris d'une manière ou d'une autre que l'histoire de "Mai’râj" n'était pas vraie, mais en raison d’un manque de connaissance de la langue du Coran, d'un enseignement inadéquat et de compétences d'analyse et de recherche insuffisantes, ainsi que de leurs croyances personnelles, ils ne pouvaient pas comprendre ce verset.

Les érudits traditionnels ont interprété les mots"الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى (Al-Masjidi Al-'Aqşá) par la mosquée Al-'Aqşá qui a été construite la toute première fois comme une place officielle (maktab) ou une institution officielle par le deuxième calife Umar (RA) à l'époque du califat. Elle a été reconstruite et agrandie par le calife omeyyade Abd al-Malik, le même calife omeyyade qui a reconstruit le sanctuaire païen Kaaba qui avait été détruit , et le fils du calife Abd al-Malik al-Walid a achevé la construction d'Al-Masjidi Al-'Aqşá en 705 après JC. Ainsi, ce Al-Masjidi Al-'Aqşá a vu le jour en 705 après JC.

En 746 après JC, Al-Masjidi Al-'Aqşá a été complètement détruite par un tremblement de terre et reconstruite par le calife abbasside al-Mansur en 754 après JC. Puis son successeur al-Mahdi l'a reconstruite à nouveau en 780 après JC. La Mosquée Al-'Aqşá a été en grande partie détruite par un autre tremblement de terre en 1033, et une autre mosquée a été reconstruite par le calife fatimide Ali az-Zahir deux ans plus tard, qui est toujours debout. Par conséquent, selon l'histoire et l'archéologie, il n'y avait pas de

“الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى” (Al-Masjidi Al-'Aqşá) du temps de la vie du Prophète Muhammad (pssl) et a été construite en 705 après JC.

À la lumière des faits énoncés ci-dessus, le Coran ne fait pas référence au même “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى” (Al-Masjidi Al-'Aqşá) qui a été construite tout à fait après la révélation du Coran et même 71 ans après la mort du Prophète Muhammad (pssl). Ainsi, le mythe des érudits traditionnels est faux.

Le but des érudits coranistes était de s'opposer aux érudits traditionnelsà la manière d’un parti d'opposition fantôme à l’assemblée. C'est la raison pour laquelle ils ont altéré aveuglément les mots “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى” (Al-Masjidi Al-'Aqşá) et inventé Madina ou Masjid Al Nabwi (la mosquée du prophète) sans analyser tout le texte arabe de ce verset 17:1 et sans même comparer le contexte des versets qui suivent. Ils n'ont pas réfléchi à ce qui aurait pu empêcher Allah de mentionner Madina, Yathrib ou Masjid Al Nabwi clairement dans ce verset 17: 1 au lieu de dire “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى” (Al-Masjidi Al-'Aqşá) à Médine.

Allah ne manque pas de mots et Il a fait le Coran en arabe simple et direct afin que les gens puissent comprendre pleinement Son message, sans possibilité de prendre l’alibi dconcepts douteux, ni excuse qu'Allah ait utilisé une langue étrangère ou non arabe dans le Coran qui ne serait pas familière du Prophète arabe (psl) et de son peuple.

De plus, aucun érudit coraniste n'a réfléchi au fait que cette sourate Al Isra (17) a été révélée à La Mecque bien avant la Hijrah (migration) à Médine et la révélation de ce verset 17: 1 montre grammaticalement qu’il n’y aucune allusion ou indication d'un incident à venir ou une prédiction de l'incident de Hijrah qui devait se produire dans le futur. Utiliser une grammaire tronquée et prendre le passé pour le futur n'est pas nouveau dans la traduction du Coran parce que nos érudits ont l'habitude de modifier la grammaire des versets du Coran pour insérer leurs croyances païennes et leurs pensées non coraniques dans la traduction.

Ceux qui pensent que le Coran a été écrit sans la grammaire ont non seulement tort mais ils sont en fait hors sujet. En réalité, le Coran est peut-être le seul livre arabe qui a été écrit exactement selon la grammaire parce qu'Allah a voulu garder Ses déclarations pour toujours et pour sceller l'énoncé des versets du Coran, chaque mot et ses particules précédentes et successives ont été soigneusement enfilées selon les règles grammaticales correctes afin que personne ne puisse se tromper dans la compréhension du message d'Allah. Cependant, ceux qui veulent modifier le véritable message d'Allah en insérant leurs pensées personnelles dans l'interprétation du Coran prétendent à tort que l'on ne peut pas traduire le Coran avec précision si un mot arabe a plusieurs significations. Ils sont complètement ignorants et blâment Allah d'avoir fait le Coran d'une manière compliquée, difficilement compréhensible et qui n'est pas traduisible dans d'autres langues. Ils sont prisonniers de leurs fausses pensées et ne comprennent pas que la formation grammaticale de toutes les autres langues est la même.

Par exemple, en anglais, "get" a tellement de sens, mais là où les écrivains veulent un sens spécifique de ce mot, ils utilisent différentes particules pour faire de ce mot un idiome pour un sens spécifique et unique, tel que, in, on, off, out, down, up et ainsi de suite. "get on" (monter) est entièrement différent de "get up" (se lever) dans sa signification, "get in" (entrer) donne un sens différent et "get down" (descendre) est utilisé pour un sens différent et "get down" (descendre) est différent de "get out" (sortir). Tous ces idiomes sont fixés pour leurs significations qui sont très bien comprises.

Le mot anglais "put" a tellement de significations mais "put on" (mettre/revêtir/porter) est différent de "put up" (abriter/monter). Si vous regardez le mot 'Set' dans le vocabulaire ou le dictionnaire anglais, vous trouverez tant de significations de 'set' en anglais, mais 'set up' (mettre en place/installer) est utilisé pour une signification spécifique qui est différente de 'set off' (faire partir/déclencher) et 'set out’ (présenter/exposer). Le mot anglais 'walk' (marcher) a tellement de significations mais 'walk in' (rentrer) est utilisé pour sa signification spécifique qui est juste à l'opposé de 'walk out' (partir).

De même, en arabe ces particules sont "les mêmes particules ou propositions qui sont utilisées pour sceller le sens correct et pour garder les significations de l’écrivain, fixes et compréhensibles par le lecteur. En arabe ces particules sont “ھل” hal, “لم” lma, “لا” la, “ما” ma, “ہ” h, “و” wa, “ی” y “, ک” k, “ن” n “م” m “ل” l ”س” s “ت” t “ب” bi, “ا " alif “فی” lkul/ من” min “ان fi “اذا” adha et ainsi de suite.

Ce sont les mêmes que les prépositions en anglais, mais elles n’ont pas le même sens selon qu'elles viennent avant et après les mots arabes pour utiliser uniquement la signification spécifique et fixe de chaque mot arabe dans une phrase, peu importe que ce mot ait des milliers d'autres significations. Cependant, il y a besoin d'une solide connaissance de la littérature arabe, de la grammaire arabe et du vocabulaire arabe, ce que n'ont pas ceux qui se prétendent les érudits du Coran qui nous transmettent l'interprétation du Coran, ils ne connaissent même pas la grammaire de leur propre langue et connaissent encore moins la grammaire de la langue arabe.

Les déclarations du Coran ne sont pas aussi abruptes, incohérentes et hors contexte que dans leurs traductions traditionnelles. Chaque mot du Coran a une cohérence complète avec d'autres mots et le Coran est verset à verset complètement cohérent, mais malheureusement, des personnes inefficaces et incompétentes sont entrées dans ce domaine qui n'ont rien de mieux à faire que d'interpréter et d'enseigner le Coran. Ils savent de l'intérieur qu'ils ne sont pas capables de le traduire, mais ils n'ont pas la moindre crainte de Dieu et sont toujours occupés dans leurs activités sataniques pour saboter le sens réel du Coran. S'il n'y a pas de grammaire dans le Coran et que chaque mot arabe donne des milliers de sens, alors l'énoncé du Coran ne peut pas rester fixe et le même, et chacun peut le prendre dans un sens différent. Si les temps passé et présent des versets du Coran sont considérés comme le temps futur, alors pourquoi incitent-ils à suivre les ordres d'Allah dans le temps présent ? Pourquoi ils ne prêchent pas de suivre les ordres d'Allah dans le futur après la mort ? Est-ce que c’est dans la vie après la mort qu'Allah voulait que nous lui obéissions ? Si ce n'est pas le cas, pourquoi changent-ils les phrases au passé et au présent par un temps futur, est-ce que c’est pour insérer leurs propres pensées dans les paroles d'Allah ?

 

Analyse du verset 17-1

Nous arrivons maintenant à la véritable analyse de ces mots du verset 17:1 ci-dessus qui ont un sens déformé dans les traductions trompeuses des érudits traditionnels et coranistes.

-Verset 17-1

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سُبْحَانَ الَّذِي أَسْرَى بِعَبْدِهِ لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ إِلَى الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى الَّذِي بَارَكْنَا حَوْلَهُ لِنُرِيَهُ مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ

Subĥāna Al-Ladhī 'Asrá Bi`abdihi Laylāan Mina Al-Masjidi Al-Ĥarāmi 'Ilá Al-Masjidi Al-'Aqşá Al-Ladhī Bāraknā Ĥawlahu Linuriyahu Min 'Āyātinā 'Innahu Huwa As-Samī`u Al-Başīru

 

"سُبْحَانَ" Subĥāna

Le mot du Coran arabe «سُبْحَانَ» (Subĥāna) est traduit par « gloire », « glorifié », « louange », « magnificence » et « exalté », ce qui est en fait le sens du même mot persan «سُبْحَانَ» (Subĥāna). Ne vous fiez pas à mes mots, ouvrez simplement le dictionnaire persan-anglais/français et trouvez la signification anglaise/française du mot persan "سبحان" (Subĥāna).

Maintenant, ouvrez le dictionnaire français-arabe et trouvez la signification arabe des mots "Gloire" "Glorifié" "Louangé", "Magnificence" et "Exalté".

"Gloire" se dit en arabe "مجد”, (Majd), “عظم” (‘Azami), “فاخر” (Fakhiru), “كبرياء” (Kabrya), “بهاء” (Baha)تألق” (Ta’alaq), “شموخ " (Shamukh) et “اعتزاز” (I'tizaz).

"Glorifié" se dit "مفخم" (mufakham) et "مبجل" (mubajil) (signifie aussi Le Digne).

"Louer/louanges" se dit en arabe مدح” (mddah), “تمجيد” (tamjeed), “إشادة” (iishada) et “تقريظ” (taqrizun).

"Magnificence" se dit "روعة" (rawea) et "عظمة" (‘azama) (signifie aussi noblesse et grandeur).

Exalté se dit "جليل " (Jaleel) et “ممجد” (Mumjad).

Vous avez peut-être déjà entendu l'expression arabe "جلیل القدر” (Jaleel ul Qadar) signifie le plus exalté ou dans toute Sa Splendeur.

Quand nous disons en arabe "اللہْ جلیل" (Allah hu Jaleel) cela signifie qu'Allah est exalté mais le même mot persan "جلیل" (Jaleel) signifie en colère parce que le mot persan "جلال" (jalaal) signifie colère ou fureur.

Ainsi, la même phrase persane "اللہْ جلیل" (Allah hu Jaleel) signifie qu'Allah est en colère ou furieux. C'est la différence entre les mots arabes et persans. Ils se ressemblent mais leurs significations sont différentes et dans la plupart des cas, elles sont opposées l'une à l'autre.

Vous ne pourrez jamais voir le mot arabe "سُبْحَانَ" (Subĥānautilisé de la même manière que dans les traductions du Coran. Cependant, les termes "Glorifié" et "Gloire" ont été utilisés pour le dieu de la lune de la divinité arabe païenne (شھر Shahar) et le dieu du soleil ; divinité perse zoroastrienne (سِن Sin) parce que les deux sont des objets éclairants. Le mot "Grand" ou كبرياء” (Kibria) était également utilisé pour le dieu païen de la lune qui était considéré comme “اکبر” (Akbar), c'est-à-dire le plus grand parmi les divinités païennes arabes.

Les mêmes concepts païens polythéistes ont été introduits dans les traductions du Coran en déformant le sens réel du mot coranique "سُبْحَانَ" (Subĥāna) qui est en fait dérivé du mot racine arabe SBH سبح » (س ب ح) » signifie : nager, flotter , se déplacer, chasser/débusquer et occupation/ activité/ métier, "سُبْحَانَ" (Subĥāna) est le sujet qui est la cause du fait de ; nager, flotter, chasser ou se déplacer et qui détient ou occupe presque tout.

"الَّذِي" Al-Ladhī)

est généralement traduit parاسم موصول” (asim mwsuli pronomrelatif), c'est-à-dire qui, lequel, ceci etc.

Cependant, selon la grammaire,"الَّذِي" (Al-Ladhī) ne peut être pris comme un "اسم موصول" (asim mwsuli = pronom relatif) que s'il suit un nom défini par "ال" (al) ou un nom propre. Si cette condition n'est pas remplie, alors "الَّذِي" (Al-Ladhī) ne peut pas être traduit par "qui", "quoi", "cela". Dans cette situation, "الَّذِي" ((Al-Ladhī) est traité comme un dérivé de "لذ" (lad) signifie ; "ravir", "apprécier", "goûter" ou "se faire plaisir".

"أَسْرَى" ('Asrá)

a été faussement traduit par «voyager de nuit». C'est la raison pour laquelle les premiers savants de l'islam ont donné le nom "Al Isra" à cette sourate, selon leur croyance traditionnelle, "Al Isra" signifiant «voyage nocturne» et ils ont dérivé dans la traduction du Coran le sens de ce mot à partir du mot persan "سری" (sri) et son dérivé persan "سیر" (sairqui signifie "voyager et emmener quelqu'un", substituant le sens réel du mot arabe "أَسْرَى " ('Asrá) 

Cependant, le mot arabe "أَسْرَى " ('Asrá)  est en fait dérivé de la racine proto س ر (SR) et dont la véritable signification est la suivante :

سر (SR) : "cordon ombilical" (الحَبْلُ السّرّيّ alhabl alssrry), "funicule" (filament qui relie l’ovule au placenta en botanique)"combler un besoin ou un désir""cris d'encouragement""donner à quelqu'un une grande satisfaction et plaisir".

سِرًّا (siranaana) veut dire ; "personnel" ou "privé", "mystère", "secret", "réservé",

(قيادة = qiadatu) "diriger/ guider/ conduire",

(عجبأشبع = eajab, 'ashbae) "délice/joie/grand plaisir",

synonymes ; ابتهج aibtahij =réjouir, حول hawl = autourبهج bihaj = entréeانحرف ainharaf = détourner 

- sacrement (rituels religieux, rites religieux et cérémonies religieuses),

- captiver (attirer et retenir l'intérêt et l'attention de) charmer, enchanter, ensorceler, fasciner, distraire, entrer, enchanter, ravir/enivrer, attirer, séduire, se délecter, attirer, leurrer ; gagner, piéger, éblouir/aveugler, absorber, capter, riveter, saisir/enserrerenvoûter, ensorcelant; épris, amoureux, engageant et envoûtant.

Le mot أسر (Asr): attacher, enchaîner, captiver, capturer, / قبض (qabidattraper , saisir,/

عبودية (‘ubudiaservitude, esclavage, asservissement, joug, asservissement, / حقارة (haqara)  obséquiosité, sujétion, insignifiance, indignité, / servitude, rétention, état d'être gardé en prison, irrésistible, fascinant, arrestation, ravisseur, / مُعْتَقِل (muetaqil), appréhension, arrestation, séquestration.

Le mot "سرية” (sarya) est utilisé en arabe général pour signifier ; secret, intimité, compagnie (شركة sharika) / mystère, furtif (سرقة sariqa) /enveloppe (ملف milafun – غلاف ghilafobscurité (ظلام zalam, عتمة eatma, ظلمة zulmat)

Veuillez consulter le verset 20:77 du Coran pour la définition coranique du mot "أَسْرِ" (‘Asri) qui est dérivé de la même racine proto du mot "أَسْرَى" ('Asrá) du verset 17:1 que nous étudions.

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(20:77)وَلَقَدْ أَوْحَيْنَا إِلَى مُوسَى أَنْ أَسْرِ بِعِبَادِي فَاضْرِبْ لَهُمْ طَرِيقًا فِي الْبَحْرِ

Wa Laqad 'Awĥaynā 'Ilá Mūsá 'An 'Asri Bi`abdihi Fāđrib Lahum Ţarīqāan Fī Al-Baĥri

Mauvaises traductions :

Nous avons envoyé une inspiration à Moïse : "Voyager de nuit avec Mes serviteurs, et tracer pour eux un chemin sec à travers la mer"

(Yousuf Ali)

Et en vérité, Nous avons inspiré Moïse, en disant: Emmenez mes esclaves de nuit et tracez pour eux un chemin sec dans la mer

(Pickthal)

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Traduction correcte :

En vérité, notre inspiration est allée à Moïse pour nous lier à mon peuple obéissant, afin qu'il leur trace un chemin dans la mer. 

(traduction mot à mot correcte)

 

Le mot “أَسْرِ” (Asr) est un verbe impératif ou de commande dérivé de la racine proto “س ر” (SR). Par conséquent, la signification correcte du verbe arabe “أَسْرِ” (‘Asr) est la suivante : Enchaîner, attacher, lier, entraver, enrôler, état d'être gardé, attraper, capturer, lier, captiver, enfermer avec une chaîne ou restreindre quelqu'un avec certaines limites, attacher quelque chose ou quelqu'un, amener quelqu'un à s’intéresser à écouter quelque chose attentivement, mettre des entraves, mettre des menottes pour restreindre, empêcher quelque chose ou quelqu'un de bouger ou d'agir, garder quelqu'un ou quelque chose sous contrôle ou en échec, mettre une limite à quelque chose ou quelqu'un.

Cependant,dans ce verset 20-77 le mot coranique/arabe “أَسْرِ” (Asr) a été remplacé par le mot persan “سیر” (Sair) qui est également utilisé en ourdou pour signifier "Voyage" ou "séjour". La même tactique perverse a été utilisée pour saboter le vrai message du verset 17:1  le mot arabe "أَسْرَى" ('Asrá) a été remplacé par le mot persan pour falsifier la traduction du mot coranique "أَسْرَى" (('Asrá). De plus, même dans la mauvaise traduction du verset 20:77 ci-dessus, tous les traducteurs et érudits ont correctement traduit la particule/préposition بِ bi du mot combiné "بِعِبَادِي" (Bi`abdihi) pour signifier "AVEC" (mes serviteurs), ce qui scelle le sens correct des mots arabes "أَسْرِ " (Asr) et "أَسْرَى" ('Asrá) mais il a été ignoré dans la traduction du verset 17:1 pour inventer le mythe du « voyage » du Prophète (psl).

J'ai déjà mentionné que la composition du Coran est entièrement grammaticale comme pour d'autres langues, les particules, les prépositions ainsi que les mots maintiennent la déclaration fixe et cohérente dans leur sens correct, mais malheureusement afin d’insérer des pensées personnelles et de fausses croyances dans les déclarations d'Allah, ils ont inventé de façon inique un mythe selon lequel aucune grammaire n'a été utilisée dans le Coran. Si vous prenez le mot anglais "walk" (marcher) et utilisez deux prépositions différentes telles que "in" et "out", le même mot "walk" vous donnera deux significations différentes pour lesquelles "walk in" (rentrer) sera juste à l’opposé de "walk out" (sortir). De la même façon la langue arabe utilise des prépositions dans son vocabulaire comme pour les autres langues et le Coran est entièrement grammatical afin de le traduire dans n'importe quelle langue du monde avec son esprit d'origine, sinon le Coran aurait été dépassé et un livre obsolète aujourd’hui, pour certaines personnes. Alors que le Coran affirme qu'il a été révélé à toute l'humanité.

La signification indiquée ci-dessus du mot arabeأَسْرَى” ('Asrá) n'est pas nouvelle ou inconnue dans le Coran, les dérivés de ce mot ont été utilisés dans de nombreux versets du Coran dans les mêmes significations que celles indiquées ci-dessus.

Cependant, dans le verset 17: 1 que nous analysons, le mot  “أَسْرَى” ('Asrá) a été utilisé dans tous les sens indiqués ci-dessus (enchaîner, lier, attacher, entraver...) destinés à nous faire comprendre que Al Masjid Al Haram (المسجد الحرام) le Masjid interdit et illégal est comme un cordon ombilical dans notre cou qui attire et capture les gens dans le culte païen, il piège et emprisonne les gens dans un culte malfaisant et pervers, il détourne la croyance des gens, il donne du plaisir et de la satisfaction aux païens polythéistes, il trahit les gens au nom du culte d'Allah, il rend les gens esclaves ou captifs de la religion polythéiste, il maintient les gens enchaînés dans des rituels sataniques et les oblige à poursuivre des pratiques illégales, il empêtre les gens dans son piège maléfique et les oblige à pratiquer l’idolâtrie au nom de la religion.

En d'autres termes, ce mot coranique “أَسْرَى” ('Asrá) nous dit que les gens sont prisonniers du charme dAl Masjid Al Haram. Ce mot “أَسْرَى” ('Asrá) a révélé la réalité que les gens se retrouvent captifs et enserrés dans une chaîne maléfique,  à l'envoûtement de Masjid Al Haram. Ainsi, tous les mauvais attributs d'Al Masjid Al Haram ont été mentionnés dans un seul mot du Coran "أَسْرَى" ('Asrá). La véritable signification de ce mot coranique a été modifiée au début de la conspiration de l'islam pour garder et protéger la mosquée illégale "الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ" Al-Masjidi Al-Ĥarāmi ainsi que ses rituels impies. Nos érudits ignorants n'ont prêté aucune attention aux mots arabes de ce verset 17:1 et ont repris la même traduction qui a été donnée par l’alliance des païens et des polythéistes zoroastriens.

"بِعَبْدِهِ" Bi`abdihi

Le mot suivant est une combinaison de la préposition"ب" (bi) et “عَبْدِ” (abdi) signifie obéissant et “هِ” (hi) est un pronom objectif (adjectif possessif) à la troisième personne du singulier pour signifier "son".

Le mot arabeعبد” (abad) vient du mot racine sémitique ع ب د (abd). Le sens premier de "عَبْد" (abad) est "être humain", "homme" ou "garant/esclave" mais il était utilisé pour signifier "obéissant". Depuis que les noms verbaux arabes عِبَادَة (ibada) et عُبُودِيَّة (abudia) ont été remplacés par les mots persans "عبادت" (Ibadat) et "عبوديت" (Abudiat), la signification de ce mot arabe "عبد" (abad) a été modifiée de "obéissant" à "adorateur", esclave ou serviteur parce que le mot persan «عبادت» (Ibadat) signifie "culte" en persan. Cependant, le mot arabe الْعِبَاد (Al-'ibad) est toujours utilisé pour signifier "humanité" et "humains/personnes". L'expression “حقوق العباد” (haquq al ibad) est encore utilisée en arabe pour signifier « les droits des personnes ».

Même un profane connaît la signification de la préposition "ب" (bi) qui est toujours utilisée pour signifier "avec", "au moyen de" et "à travers" mais pour insérer leurs pensées païennes dans l'interprétation du Coran à la fois les érudits traditionalistes et le les érudits coraniques ont ignoré le sens correct et l'utilisation appropriée de la préposition «بِ» (bi) et ont inventé que «Son esclave/dévot» se rendait personnellement à Mairaj (érudits traditionnels) ou à Médine (les érudits coranistes).

Alors que "بِعَبْدِهِ" (Bi`abdihi) signifie "par Son obéissant", "avec obéissance" ou "par Son obéissant". C'est le point principal qui a condamné les fausses traductions de ce verset 17:1 dans lequel il est affirmé à tort que le Prophète Muhammad (psl) a été emmené à Mairaj ou dans une mosquée lointaine ou Médine.

En fait la phrase «بِعَبْدِهِ» (Bi`abdihi) montre clairement que quelque chose a été fait par l'obéissant d'Allah, le Prophète Muhammad (pssl).

 

"لَيْلاً" Laylāan

Le mot suivant est dérivé du mot racine arabe LYL لیل=(ل ی ل). La véritable signification de ce mot racine arabe est la suivante :

Obscurité, assombrir, noircir, ombre sombre, couverture sombre, arnaque, tricherie, fraude, tromperie, esquiver, falsifier, méchanceté, mal, corruption, péché, iniquité, immoralité, maléfice, le diable, enfer.

Il est d’usage que la nuit cache et recouvre également la lumière du jour, c'est pourquoi le mot "اللیل" (Al Laylest utilisé pour "nuit" en langue arabe qui est dérivé du même mot racine LYL "لیل" (ل ی ل). Le même sens de "nuit" peut être constaté dans toutes les autres langues. Si vous regardez le mot anglais "Night" (nuit) dans le dictionnaire, vous trouverez également la même définition mentionnée ci-dessus.

Cependant,en arabe courant "لیل" (layl) ne signifie "Nuit" que s'il est accompagné de l'article défini "ال" (Al), c'est-à-dire "اللیل" (Al Layl). S'il ne vient pas avec l'article défini "ال" (al), il n'est pas considéré comme signifiant "Nuit" car l'article défini, pointe la racine du mot qui est le nom particulier de quelque chose, connu ou reconnu.

Le Coran suit la même règle linguistique,pour indiquer le sens de "Nuit" لیل (layl) est précédé de l’article défini "ال(Al) "اللیل" (al layl). Lorsqu'il n'y a pas d'article défini, le Coran ne le considère pas comme signifiant "Nuit" mais uniquement dans le sens du mot racine LYL "لیل" (ل ی ل) indiqué ci-dessus.

Le Coran lui-même définit le sens correct deلیل” (layl) et “اللیل” (al-layl). L'expression coranique “اللَّيْلِ وَالنَّهَارِ” (al layl u wa al nahar u) est l'exemple où le Coran utilise "اللَّيْلِ" (al layl) signifiant "Nuit" avec le mot "النَّهَار" (al nahar/le jour) qui vient également avec l'article défini pour signifier " Jour".

Les exemples de versets où le le nom défini "اللَّيْلِ" (al laylsignifiant "Nuit" sont courants dans le Coran : 2:164, 2:187, 3:27, 3:190, 6:13, 11:114 , 13:3, 13:10, 14:33, 16:12, 21:33, 21:42, 22:61, 23:80, 24:44, 25:62 et dans de nombreux autres versets du Coran.

Les versets suivants du Coran définissent le sens de اللَّيْلِ (al lail/la nuit) et le comparent avec la lumière du jour ou le jour.

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وَاللَّيْلِ إِذْ أَدْبَرَ (74:33)

Wa Al-Layli 'Idh 'Adbara

Et la Nuit quand elle tourne le dos/esquive/fraude/trompe

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وَالصُّبْحِ إِذَا أَسْفَرَ (74:34)

Wa Aş-Şubĥi 'Idhā 'Asfara

Et le matin quand il fait clair/lumineux

OU

Le matin tel qu’il est clair/lumineux

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وَاللَّيْلِ إِذَا عَسْعَسَ (18:17)

Wa Al-Layli 'Idhā ‘Asas

 

Et la nuit quand elle s'assombrit 

ou

quand l'obscurité tombe

ou

quand l'obscurité s'assombrit

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وَاللَّيْلِ وَمَا وَسَقَ (84:17)

Wa Al-Layli Wa Mā Wasaqa

Et la nuit est celle qui couvre/ dissimule/ enveloppe/ encercle/ étouffe/ cache

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وَاللَّيْلِ إِذَا يَسْرِ (89:4)

Wa Al-Layli 'Idhā Yasri

Mauvaise traduction :

par la nuit quand il voyage! (Arberry)

Et la nuit quand elle décède (Yousuf Ali)

Et la nuit quand elle part (Pickthal)

 

Le mot (verbe au présent) “يَسْرِ” (yasr) du verset ci-dessus est également dérivé de la même racine du mot “أَسْرَى” (asra) révélé dans le verset 17:1. Par conséquent, pour garder la cohérence du mensonge de nos érudits dans la traduction du verset 17:1, ils ont menti dans des centaines d'autres endroits. C'est la raison pour laquelle tous les érudits ont traduit de manière trompeuse le mot يَسْرِ" (yasr) dans le verset 89:4 ci-dessus pour signifier "Voyage", "Décéder" et "Partir" mais ils ont oublié le sens de l'expression "Décéder" qui signifie " décès". Si nous prenons le mot « أَسْرَى » (asra) du verset 17:1 pour signifier « décédé », la phrase "أَسْرَى بِعَبْدِهِ" 'Asrá Bi`abdihi peut être traduite par « Son obéissant est décédé ou est mort », ce qui est faux.

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Traduction correcte :

Et la Nuit, quand elle tonne/ capitalise/ capture/ attrape/ encercle/ avale/ galope/ arrête/ fascine/ envoûte/ interne/ appréhende/ enchante/ enrôle/ tente/ tumulte/ terrible/ confusion/ incertitude/ turbulence/ désordre/ commotion/ perturbation/ chaos/ pandémonium (تنة = fitnatun)

 

Dans le verset 89:4 ci-dessus, "la nuit" a été définie comme une فتنة” (FITNA/sédition)

 

Verset 91.3 Traduction des polythéistes :

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M. Yousuf Ali est considéré comme un grand nom dans la traduction du Coran, mais malheureusement, comme d'autres érudits, il a également copié aveuglément la traduction du verset 91: 3 ci-dessus qui a été donnée par les polythéistes persans zoroastriens qui adoraient le «soleil». C'est la raison pour laquelle ils ont introduit dans le Coran leur mot païen « la gloire du soleil ». Comment Allah peut dire la "gloire du soleil" dans le Coran où la gloire n’est mentionnée que pour Allah seul.

Cependant, le mot arabe« جَلَا » (Jallā) signifie : clair, visible, amené à la lumière, brillant, découvrir, divulguer, révéler, éclaircir, nettoyer, brossé, poli, brillant, éclairer, briller, remettre à neuf, connu et proéminent. Par conséquent, selon le texte arabe, la traduction correcte de ce verset (91:3) est la suivante:

91 3 1

Traduction correcte :

وَالنَّهَارِ إِذَا جَلَّاهَا (91:3)

Wa An-Nahāri 'Idhā Jallāhā

Et le jour quand il est clair et lumineux.

91 4 correct

وَاللَّيْلِ إِذَا يَغْشَاهَا (91:4)

Wa Al-Layli 'Idhā Yaghshāhā

Et la nuit qui couvre

(traduit par Free Mind)

Traduction plus précise:

Et la nuit quand elle escroque/ trahit/ trompe avec ténèbres-obscurité/ assombrissement.

OU

Et la Nuit qui triche/ cache/ tisse un voile/ assombrissement

 

Le mot “يَغْشَاَ” (Yaghshā) du verset 91:4 ci-dessus signifie la même tromperie, fraude et esquive qui est également utilisée dans le hadith populaire :

فليس منا، ومن غشنا فليس منا” "flis mina, wamin ghishna falays mina"

qui est traduite par:

"Celui qui trompe n'est pas des nôtres."

OU

"Celui qui nous trompe n'est aucun d'entre nous."

Si le sens de"غشنا" ghishna n'est pas tricherie, tromperie, esquive, falsification et escroquerie, alors ce Hadith et sa traduction devraient être retirés de tous les livres des traditions. Fait intéressant, ceux qui croient aux Hadiths et se disent « sunnites » n'acceptent pas ce sens du même mot quand il apparaît dans le Coran dans le verset 91-4 pour définir « اللیل » (al layl) alors qu'ils ont, eux-mêmes, mentionné ce sens dans tous les livres de tradition, y compris Bukhari et Muslim.

Plus intéressant, les commerçants corrompus affichent ce Hadith ;

« فليس منا، ومن غشنا فليس منا‏ »(falays minaa, waman ghishnan falays mina) de façon visible dans leurs boutiques pour gagner la confiance de leurs pauvres clients.

Les commerçants de miel, de ghee desi (beurre hindou) et de produits laitiers utilisent particulièrement ce hadith comme outil pour gérer leur entreprise.

En fait, le mot« يَغْشَا» yaghsha du verset 91:4 ci-dessus est dérivé de la racine proto « غش » ghishadont la signification correcte est : fraude, tricherie, escroquerie, falsification, tromperie, esquive et corruption.

Allah définit"اللیل" (al layl) dans le même sens dans le verset 91: 4 ci-dessus

92 2 correct

وَالنَّهَارِ إِذَا تَجَلَّى (92:2)

Wa An-Nahāri 'Idhā Tajallá

Le jour tel qu'il est entièrement brillant/

complètement éclairci/

pleinement lumineux

 

92 1

وَاللَّيْلِ إِذَا يَغْشَى (92:1)

Wa Al-Layli 'Idhā Yaghshá

La nuit telle qu'elle est pleinement escroquerie

/obscurcissement complet/

entièrement fraude/

tricherie complète/

tromperie entière et entièrement fausse.

93 2

وَاللَّيْلِ إِذَا سَجَى (93:2)

Wa Al-Layli 'Idhā Sajá

La nuit telle qu'elle est linceul (longueur d'étoffe ou vêtement enveloppant dans lequel un mort est enveloppé pour l'inhumation), suaire, vêtements de tombeau, vêtements funéraires, linceul, masque noir, paravent, recouverte, gâchée, faux maquillage.

 

Le mot arabe"لیل" (layl) désigne également le côté obscur du jour, qui est un antonyme de "نھار" (nahar) signifie lumière du jour, lumière vive ou lorsque la lumière s'échappe du soleil et descend sur terre. Veuillez consulter mon article de recherche "نھر nahaet انھار" anhar pour plus de détails.

Selon la grammaire le motلَيْلاً ” (Laylāan) du verset que nous étudions (17:1) est un cas accusatif (اسم المنصوب aism almansub)

Les cas des mots indiquent le rôle des mots dans la phrase. Si l'on n'utilise pas le bon cas du mot dans une phrase, on ne peut pas obtenir la vraie traduction. Il est mentionné dans la grammaire arabe avancée "Madina Book 2" qu'il existe de nombreux cas où le nom sera mansub/accusatif. Vous pouvez trouver les mêmes règles dans n'importe quel livre réputé de grammaire arabe, un nom est mansub/accusatif lorsqu'il est l'objet d'une action. Pour traduire correctement les versets du Coran, nous devons suivre la séquence grammaticale des phrases arabes dans laquelle l'action suit l'auteur puis l'objet, c'est-à-dire l'action + l'auteur + l'objet.

Par exemple si nous voulons dire :

"Il a frappé Ali"sera correctement écrit en arabe "ضَرَبَ علیً" (darba Alian) avec double harkah de fatah (an) à la fin ou tanveen fatah à la fin de l'objet "Ali", c'est-à-dire darba Ali-an.

Si vous dites : daraba Ali-un (avec tanween dammah) - cela signifie qu'Ali a frappé...

Ces cas indiquent la fonction de chaque mot dans la phrase et un mauvais cas peut changer le sens de la phrase entière. Par conséquent, ignorer les cas des mots du Coran est la plus grande erreur qui a été commise dans les traductions du Coran. Il existe également des phrases plus complexes dans lesquelles l'auteur peut apparaître plus loin dans la même phrase, mais une compétence linguistique et des connaissances sont nécessaires pour produire la traduction correcte, ce qui est loin d'être le cas pour nos savants ignorants.

Ainsi, dans le verset que nous analysons (17:1) le mot “لَيْلاً ” (Laylāan) avec double harkah de fatah à la fin joue son rôle dans son sens premier de « ténèbres, tromperie, duperie, méchanceté et cruauté».

 

مِّنَ ” (Mina)

La conjonction superposée de la préposition “مِّنَ ” (mina) entre “لَيْلاً ” (Laylāan) et le nom suivant “الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ ” (Al-Masjidi Al-Ĥarāmi) fait de la mosquée interdite un cas génitif (المجرور almajrour), et indique clairement que l’objet qui est لَيْلاً ” (Laylāan), est “الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ (Al-Masjidi Al-Ĥarāmiet est l'objet de la prépostion “مِّنَ ” (mina), qui peut être un وظرف wazarf/adverbe de; زمان zaman/temps مكان makan /lieu ظرفzarf/circonstance

Donc, الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ (Al-Masjidi Al-Ĥarāmi) par la préposition مِّنَ ” (mina) devient le locatif ou le lieu ou le locatif de لَيْلاً ” (Laylāan"ce qui se passait dans ou sous la mosquée interdite “الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ (Al-Masjidi Al-Ĥarāmi) ou directement dans les locaux de la mosquée interdite الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ (Al-Masjidi Al-Ĥarāmi).

Ainsi, selon l'application des règles grammaticales correctes, les mots du verset 17: 1لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ” (Laylāan Mina Al-Masjidi Al-Ĥarāmi) décrivent clairement "Ténèbres/ Méchanceté/ Malveillance/ Fraude/ Tricherie/ Esquive/ Corruption d'Al Masjid Al HARAM. Cela ne signifie pas qu'une nuit quelque chose est arrivé d'Al Masjid Al Haram ou que le Prophète Muhammad (psl) a été emmené quelque part d'Al Masjid Haram en une nuit.

Maintenant la question qui se pose est si la grammaire des mots “لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ” (Laylāan Mina Al-Masjidi Al-Ĥarāmi) montre les ténèbres, l’obscurité, la méchanceté, la malveillance, la fraude, la tricherie, l'escroquerie et la corruption en plein dans les locaux d'Al Masjid Al Haram alors est-ce que le Prophète (psl) a réellement fait le Mairaj /ascension ou voyagé jusqu’à Médine à partir des lieux obscures de Al Masjid Al Haram?

Si le Prophète (psl) était présent à Al Masjid Al Haram d’où il a fait Mairaj/ascension ou a voyagé jusqu’à Médine alors pourquoi il est mentionné dans les Hadiths et dans les fausses explications de Mairaj que le Prophète (psl) dormait dans la maison de sa tante paternelle "Umm-e-Hani" quand il a fait Mairaj ?

Une personne ne peut être présente qu’à un seul endroit à un moment donné. Par conséquent, les traducteurs doivent décider avant de traduire ce verset 17: 1 où se trouvait le Prophète Muhammad (psl) à ce moment-là, soit à Al Masjid Al Haram, soit dans la maison de sa tante ?

Par conséquent, les paroles du verset 17:1لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ” (Laylāan Mina Al-Masjidi Al-Ĥarāmi), ont automatiquement rejeté la fausse histoire selon laquelle le Prophète Muhammad (pssl) était dans la maison de sa tante parce que ces mots parlent de Ténèbres/ Méchanceté/ Malveillance/ Fraude/ Tricherie/ Esquive et Corruption d'Al Masjid.

44 23 tradi

فَأَسْرِ بِعِبَادِي لَيْلًا إِنَّكُم مُّتَّبَعُونَ (44:23)

Fa'asri Bi`ibādī Laylāan 'Innakum Muttaba`ūna

 

Mauvaise traduction:

"Alors vous allez/partez avec Mes adorateurs/esclaves la nuit, alors que vous êtes suivis." (littéral)

"Marchez de nuit avec Mes serviteurs : car vous êtes sûrs d'être poursuivis" (Yousuf Ali)

Vous voyagerez avec Mes serviteurs pendant la nuit ; vous serez poursuivis (Free Minds)

"Emmenez Mes serviteurs de nuit. Voici, vous serez suivis" (QXP Shabbir Ahmed)

"Voyagez avec Mes serviteurs pendant la nuit ; vous serez poursuivis" (Khalifa)

"Et Dieu lui dit : marche de nuit avec mes serviteurs ; car vous serez poursuivis" (George Sale)

"Alors (son Seigneur ordonna) : Enlevez Mes esclaves de nuit. Lo ! vous serez suivis" (Pickthal)

 

 

44 23 correct

Traduction correcte :

"Alors en réalité enchaîné/lié avec mon peuple obéissant, corrompu est votre observateur".

 

فَ"(fa) au début du verbe impératif "أَسْرِ " (asri) rend la déclaration très importante et basée sur des faits. Donc, en fait le verbe de commande "فَأَسْرِ" (fa'asri) qui joint le mot suivant "بِعِبَادِي" (Bi`ibādī) avec la préposition/particule "بِ" bi dans la même forme que nous avons déjà vu la phrase "أَسْرِ بِعِبَادِي" ('asri Bi`ibādī) dans le verset 20:77 et traduit au sens correct du mot " أَسْرِ" 'asri qui n'est pas "voyage" du mot persan “سیر” syri . Le mot "لَيْلًا" (Laylāan) de ce verset est venu sans l'article défini "ال (al).

Par conséquent, selon la règle linguistique énoncée ci-dessus et conformément aux autres versets du Coran,"لَيْلًا" (Laylāan) ne peut pas être traduit par « nuit », mais sa signification première est "tromper", "tricher", "frauder", "ténèbres" et "faux", etc. qui signifie "qui est dans l'obscurité" ou "qui trompe/fraude".

Le mot"مُّتَّبَعُونَ" (Muttaba`ūna) est le verbe « تبع» (tabaeu) au passé et un nom, la signification est ; «ceux qui observent quelqu'un» ou «suivent les traces de quelqu'un et deviennent d'accord avec la cause» comme les disciples des Prophètes, etc. suivre ou poursuivre quelqu'un dans l'inimitié.

Cependant, Allah dit en réalité dans ce verset 20:77 "continuez à vous joindre/ à vous réunir et à vous lier avec des gens qui sont dans les ténèbres, ils deviendront vos partisans".

 

إِلَى ” 'Ilá

Le mot suivant du verset 71-1 qui est encore une fois la préposition إِلَى ” 'Ilá pour signifier "vers" ou "du côté" de “ الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى” Masjid Al Aqsa .

Ainsi, “لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ إِلَى الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى

Laylāan Mina Al-Masjidi Al-Ĥarāmi 'Ilá Al-Masjidi Al-'Aqşá

signifie ;

de l'obscurité/tromperie de la (الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ) Masjid illégale/interdite à la Masjid Al-Aqsa (الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى).

 

الْأَقْصَى Al-'Aqşá

Il a été prouvé à partir de l'histoire et de l'archéologie au début de cet article queMasjid Al-Aqsa (الْمَسْجِدِ الْأَقْصَىn'existait pas lorsque le Coran a été révélé et même il n'a pas été construit du temps de la vie du Prophète (psl). Par conséquent, nous devrons percer ce qui est appelé Masjid Al-Aqsa (الْمَسْجِدِ الْأَقْصَىdans le Coran s'il n'était pas présent à ce moment-là.

Le mot "الْأَقْصَى"Al-Aqsa est en fait dérivé du mot racine arabe “قصص” (qasas). Le même mot “قصص” qasas est utilisé dans la langue persane pour signifier : histoire, récit, narration, rapport mais le mot arabe “قصص” (qasas) a les significations suivantes :

قص qasun

comme nom ; coupure/ incision/ échantillon/ attache pour faire quelque chose, modèle, façon/manière, chemin/voie, méthode/manière/façon (طريقة=tariqatu), disposition/ fourniture/ provision (باحكام bahkam),

poignée, prise, capture, emprise, nacelle/arceau

وضع طفل في مهد wade tifl fi mahad petit lit/lit bébé, garde/protection/surveillance, abri/refuge/protection, bouclier/écran, logement/habitat, rempart وقاء waqa

fondateur أنشأ takhmin

dernier/en queue, race/type/multiplication, augmentation/relance/hausse, nourrice ربى rubaa reconstitution

comme verbe : attribut de (نسب الى =nusab ala) , assigner, atteindre, connecter, joindre, approcher, se rapportant, respecter, appeler (اتصل atisal) , irriguer (روى=rwaa) saturer, immerger, naviguer sur une voie, canalaliser قناة qanaa, écluse, laver, rincer, nettoyer et purifier dénoncé, véhiculé, déplacé, règle, projet de loi, proclamé, déclaré (أعلن ='uelin ), protester, célébrer

comme adjectif: antique القديمة liqadima, vieux سابق sabiq, – قديم qadim-عتيق eatiq) , ancien, suranné/retraité, démodé, archaïque, antique, très vieux, classique, primitif (فطري = fitriبدائي bidayiy), arrière, jadis, ancien.

Bien que les anciens lexiques arabes réputés Taj ul Aroos, Mohkam et Kamoos soient également parmi ces dictionnaires arabes qui ont donné une mauvaise signification des mots arabes du Coran, y compris le mot arabe قص qasun, mais d'une manière ou d'une autre, ils ont également mentionné le vrai sens et la racine correcte de اقصیٰ = aqsy qui est (قصص qisaset signifie suivi après, piste/voie, ou des pas, à la poursuite ; s'est efforcé de retracer.

Taj ul Aroos a donné un exemple tiré d'un ancien dicton arabe : "خَرَجَ فُلَانٌ قَصَصًا فِى أَثَرِ فُلَانٍ(kharaj fulan qasasan fia 'athar fulanin), pour signifier "celui-ci est sorti en suivant ou suivant les traces d'un tel, à sa poursuite".

Taj ul Aroos et Mohkam ont en outre ajouté que "قَصَصٌ(qasas) est un substitut qui est mis à la place de quelque chose de sorte qu'il est devenu prédominant. Le vieux lexique arabe bien connu Sihah mentionne que le sens de "قَصَصٌ" (qasas) est poursuivi ou recherché.

Les lexiques arabes "Asas", "Sihah", "Taj ul Aroos" et "Kamoos" mentionnent également le mot arabe "تَقْصِيصٌ" (taqsees) dans le même récit en référence à "Al-Ḥijáz" pour signifier : Il a plâtré ou construit une maison et un tombeau, qu’il est interdit de fabriquer avec du gypse. (Matériau de construction)

Ainsi, selon les recherches ci-dessus, la phrase du verset 17: 1"الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى" (Al Masjid Al Aqsa) n'est pas un bâtiment, une maison ou un tombeau construit avec les matériaux de construction habituels, mais une position virtuelle ancienne ou la plus ancienne à suivre ou retracer. Il s'agit d'un poste/voie/chemin détérioré ou une disposition périmée qui est cassée/attachée/modélisée et assignée au berceau/commencement pour se connecter, tendre la main et s'approcher d'Allah, الْأَقْصَى (Al Aqsa) est le gardien, le fondateur, l'abri, le bouclier et l'attribut. La signification de الْأَقْصَى (Al Aqsa) montre clairement que c'est le chemin d'Allah pour Le connecter qui est aussi une voie antique puisqu’il a été donné dans le berceau/commencement.

Le mot suivant l'a rendu plus clair en nous exhortant à revenir vers la position mentionnée ci-dessus qui a été cassée, et qui a été bâtie et modélisée par Allah.

Les mêmes mots “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى (Mosquée al-Aqsa) ont été mentionnés comme بَيْتِالْعَتِيقِ ” (Bayti Al-`Atīqi) l'ancienne maison dans le Coran (voir sourate Al Hajj 22, verset 28), l'ancienne ou la plus ancienne plate-forme/ abri/ parapluie/ toit/ charte d'Allah. Malheureusement, بَيْتِالْعَتِيقِ ”  ” (Bayti Al-`Atīqi) les érudits l’assimilent à tort à (bait al haram) et traduit à la fois par les érudits traditionnels et les érudits coranistes pour signifier la Maison d'Allah.

Comme expliqué dans les articles précédents

" LA VÉRITABLE COMPRÉHENSION DU VERSET 72:18 DE LA SOURATE AL-JINN

وَأَنَّ الْمَسَاجِدَ لِلَّهِ فَلَا تَدْعُوا مَعَ اللَّهِ أَحَدًا:”

Wa 'Anna Al-Masājida Lillāhi Falā Tad`ū Ma`a Allāhi 'Aĥadāan

et « MASJID & SAJDA À LA LUMIÈRE DU CORAN »

le sens de "masjid" est endroitposte, siège, siège capitonné, lieu et position, et le mot "masjid" est synonyme des mots arabes “منصب” (mansab) et “مسند” (masnad) qui est également connu sous le nom de “گدّی” (gaddi) ou siège ou maqaam (مقام) de quelqu'un en ourdou.

Doncالْمَسْجِدِ الْحَرَامِ” (almasjid alharami) signifie poste/ endroit /siège/ place/ siège capitonné/ position/ mansab, masnad et maqaam d'idoles ALHARAMI / interdits et illégaux à cause de la pratique du culte des idoles et des rituels païens à ce poste ou à ce siège, mais le poste/ endroit/ siège/ mansab/ masnad et maqaam d'Allah seul est appelé الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى(Mosquée Al-Aqsa) dans le verset que nous analysons (17:1), qui est la toute première / ancienne et la plus ancienne charte d'Allah seul pour toute l'humanité. Il n'a pas de minarets, pas de dômes et pas de bâtiment mais il a été construit sur les règles, les règlements, les ordres et la charte d'Allah qui doivent être respectés, obéis et suivis. Ceci est la guidance complète vers le chemin magnifié/loué وَهُدُوا إِلَى صِرَاطِ الْحَمِيدِ (22:24) (Wa Hudū 'Ilá Şirāţi Al-Ĥamīdi / et ils ont été guidés vers le chemin du Digne des louanges).

Allah a utilisé le mot racine et ses dérivés de"اقصیٰ(‘Aqsa) dans de nombreux autres versets du Coran pour nous faire comprendre ce qu'est "المسجد الاقصیٰ" (Al Masjid Al Aqsa) mais nous ne voulons pas comprendre les mots clairs de Coran à cause de nos pensées païennes et de nos croyances non coraniques.

Au verset 18:64, Allah a utilisé le motقَصَصًا" (qasasan) dans un cas accusatif qui est la racine réelle de “الاقصیٰ” (Al Aqsa) pour signifier revenir sur vos pas, en suivant le chemin d'où vous êtes venu, revenir sur votre piste actuelle et tracer votre marque initiale.

18 64

قَالَ ذَلِكَ مَا كُنَّا نَبْغِ فَارْتَدَّا عَلَى آثَارِهِمَا قَصَصًا (18:64)

Qāla Dhālika Mā Kunnā Nabghi Fārtaddā `Alá 'Āthārihimā Qaşaşāan

Moïse a dit : « C'était ce que nous recherchions : » Alors ils retournèrent sur leurs pas, suivant (le chemin par lequel ils étaient venus) - Traduction de Yousuf Ali.

Il a dit: "Ce (n'est) pas (ce que) nous souhaitions / désirions."Alors ils sont revenus sur les traces/marques en les suivant/ poursuivant (Traduction littérale)

 

Dans la traduction du verset 18:64 ci-dessus, tous les savants ont pris le sens correct du même mot “قَصَصًا” (qasasan), dérivé du mot racine “قصص” (qss). Il s'agit de la même racine du mot dont “الْأَقْصَى ” (Al Aqsa) du verset 17:1, est dérivé.

40 78

وَلَقَدْ أَرْسَلْنَا رُسُلًا مِّن قَبْلِكَ مِنْهُم مَّن قَصَصْنَا عَلَيْكَ ” (40:78)

"Wa Laqad 'Arsalnā Rusulāan Min Qablika Minhum Man Qaşaşnā `Alayka"

4 164

(4:164) “وَرُسُلاً قَدْ قَصَصْنَاهُمْ عَلَيْكَ مِن قَبْلُ 

"Wa Rusulāan Qad Qaşaşnāhum `Alayka Min Qablu"

Le même mot “قَصَصًا” Qaşaşnā a été utilisé dans les versets 40 :78 et 4 :164 où il est déclaré que tous les prophètes sont retournés et ont retracé l’ancien chemin d'Allah . Cependant, dans les traductions de ces versets (40:78 & 4:164) nos savants ont remplacé le même mot arabe “قَصَصًا” (Qaşaşnā) avec le mot persan similaire “قصص” qasas pour falsifier la traduction de ces versets parce que les déclarations de ces versets avec le sens correct du mot arabe “قصص” qasas ne correspondent pas à leurs croyances païennes.

Le même jeu diabolique a été joué tout au long de la traduction du Coran pour saboter le vrai message d'Allah. Le mot “قُصِّيهِ” (Qasia) est également un dérivé du même mot racine de “اقصیٰ” (aqsa) qui a été correctement traduit pour signifier "suivre" ou "tracer" dans le verset 28:11

28 11

وَقَالَتْ لِأُخْتِهِ قُصِّيهِ فَبَصُرَتْ بِهِ عَن جُنُبٍ وَهُمْ لَا يَشْعُرُونَ (28:11)

Wa Qālat Li'khtihi Quşşīhi Fabaşurat Bihi `An Junubin Wa Hum Lā Yash`urūna

Et elle a dit à sa sœur, traque/suis-le, alors elle a vu/regardé avec lui, de loin/à distance et (tandis qu') ils ne sentent/savent/perçoivent pas. (Traduction littérale)

Et elle a dit à la sœur (de Moïse), "Suivez-le" alors elle (la sœur) l'a vu dans la silhouette d'un étranger. Et ils ne savaient pas (Traduction de Yousuf Ali)

 

Par conséquent, nos savants savent ce qu'ils font et à coup sûr, si vous comparez les traductions des versets du Coran, vous verrez par vous-même la tricherie et les mensonges de nos savants et à quel point ils ont sournoisement déformé les interprétations de ces versets du Coran qui déclaraient quelque chose de différent de nos fausses croyances. La traduction des versets ci-dessus est la preuve évidente que nous avons rejeté les déclarations d'Allah révélées dans le Coran uniquement à cause de nos croyances existantes et de nos faux dogmes. Sommes-nous vraiment musulmans ???

Le motقِصَاصٌ” (qsas) est utilisé dans les versets 2:178, 2:179, 2:194 et 5:45. Le sens réel de ce mot “قِصَاصٌ” (qsas) est "retour". Cependant, le mot «rétribution» est utilisé dans les traductions de ces versets qui donne le même sens de rendre une récompense ou une punition, de rendre pour son acte ou son propre fait, de réparer, de récompenser dans le jugement ou de rendre mesure pour mesure.

De plus, les érudits traditionnels dérivent à tort le mot coraniqueاقصیٰ” (aqsa) du mot racine “قصو” (Qasu) pour signifier prévoyant, dernier, extrême, éloigné, très loin, à une distance éloignée, le plus lointain ou le plus éloigné. Cependant, ceux qui se réclament du Coran seul ont inventé que le mot “اقصیٰ” (aqsa) signifie "direction vers le sud" d'Al Masjid Al Haram, c'est-à-dire Médine. Ils se sont appelés les coranistes mais ils suivent également les érudits traditionnels et interprètent “اقصیٰ” ('Aqşá) comme signifiant une mosquée éloignée vers l'extrême sud de La Mecque, qui est Masjid Al Nabwi à Médine. Leurs disciples admirent toujours les niveaux intellectuels de leurs érudits coranistes et se vantent que personne ne peut interpréter le Coran aussi bien que leurs érudits, mais ils ne veulent pas admettre la réalité que même Masjid Al Nabwi n'existait pas lorsque ce verset 17: 1 a été révélé.

À la lumière d'une recherche approfondie dans l'histoire, l'archéologie, les lexiques arabes légendaires, les dictionnaires arabes authentiques des temps modernes et en examinant les versets du Coran, nous avons atteint le vrai sens de “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى ” (Al Masjid Al 'Aqşá) qui a été mal traduit par les érudits traditionnels et coranistes en fonction de leurs fausses croyances et en s'inspirant de sources fabriquées en dehors du Coran.

Selon le Coran,الْأَقْصَى” (Al-'Aqşá) signifie "Le Retour" à l'origine.

 

الَّذِي ” (Al-Ladhī)

Selon la règle “الَّذِي ” (Al-Ladhī) suivi de l'objet défini “الْأَقْصَى ” Al 'Aqşá est connu comme « pronom subjectif /relatif» pour signifier qui, lequel, que, quoi, qui, dont.

 

بَارَكْنَا ” Bāraknā

La phrase suivante est la combinaison de بَارَكْنَا  Bāraknā  بَارَكْ barak نَا na

نَا naest en fait un pronom objectif(pronom possessif) à la première personne du pluriel, commun dans la langue arabe et signifie «à nous/nôtre», mais tout au long du Coran, nos érudits ont traduit ce pronom objectif (pronom possessif) commun par le pronom subjectif (pronom personnel) "nous". Si vous jetez un œil sur les pronoms arabes (ضمائر damayir), vous constaterez par vous-même que a traduction du pronom “نحنْ” (Nahnu) est "nous" c’est un pronom subjectif (pronom personne)l à la première personne du pluriel et نَا (na) est utilisé comme pronom objectif (pronom possessif) de la première personne du pluriel qui signifie "à nous/nôtre". Qui a permis à ces érudits ignorants de traduire le Coran s'ils ne font pas la différence entre les pronoms subjectifs et objectifs (pronoms personnels et pronoms possessifs) ? On peut comprendre la différence entre les pronoms subjectifs et objectifs, c'est-à-dire entre "nous" et "à nous/nôtre" à partir des exemples de phrases suivants :

- Nous ordonnons (avec pronom subjectif/pronom personnel)

- Ordonne-(à) nous (lorsque nous inversons le pronom de l’état de "sujet" à l’état de "subjectif" (de pronom personnel à pronom possessif)

Avez-vous vu les phrases ci-dessus dans lesquelles j'ai remplacé le pronom subjectif par le pronom objectif ? Les deux phrases donnent leur sens opposé l'un à l'autre même si le verbe est le même dans les deux phrases, mais la compréhension des deux phrases a été modifiée en changeant le pronom de subjectif à objectif ou vice versa. C'est ce qui s'est passé tout au long de la traduction du Coran, dans laquelle nos savants ont changé la déclaration d'Allah en dehors des règles linguistiques. Certains érudits ont inventé de fausses excuses pour remplacer le pronom objectif (à nous/nôtre) par le pronom subjectif (nous) dans la traduction du Coran mais ils ne se rendent pas compte qu'Allah n'oublie rien et aussi Allah ne manque pas de mots . Ne pensez-vous pas qu'il doit y avoir une raison d'utiliser le pronom objectif نَا na dans certaines phrases du Coran comme “انزلنا” (anzalna), “اعطینا” (aataina) ou “بَارَكْنَا  (barakna) ?

Si Allah voulait dire ce que nos savants ont inventé en changeant le pronom objectifنَا na, c’est-à-dire «à nous/nôtre» en “نحنْ” (nahnu/Nous), Allah Lui-même aurait utilisé “نحنْ” (nahnu) dans ces phrases au lieu d'utiliser نَا (na/à nous, nôtre) comme Il est déjà utilisé

dans de nombreux versets du Coran où Il le voulait.

Soit nos savants ont rectifié l'erreur d'Allah qui utilise le pronom objectif نَا (na/à nous, notre) au lieu de نحنْ” (nahnu/Nous) ou ils ont protégé leurs mauvaises croyances non coraniques en changeant les propres paroles d'Allah et Ses déclarations révélées dans le Coran. Quel est le problème de traduire correctement les phrases comme “انزلنا” (anzalna), “اعطینا” (aataina) ou “بَارَكْنَا (barakna) en utilisant le pronom objectif “نا” (na) de la même manière qu'Allah l'a révélé dans le Coran?

Si nos savants avaient correctement traduit les versets “انزلنا” (anzalna), “اعطینا” (aataina) ou “بَارَكْنَا (barakna) etc. ont été révélés avec le bon pronom objectif, les déclarations de ces versets auraient été en conflit avec leurs fausses croyances et leurs pratiques impies. C'est la raison pour laquelle ils ont changé l'interprétation du Coran sans avoir la moindre crainte d'Allah. En plus de cela, pour protéger leurs actions infidèles, ils prétendent qu’il n’y a pas de grammaire dans le Coran afin qu'ils puissent librement inventer le sens des versets du Coran. Qu'est-ce qui est le plus important, les paroles d'Allah révélées dans le Coran pour notre guidance ou leurs fausses croyances qu’ils ont adaptées dans les mots Du Coran?

Ainsi, nos érudits ont en fait changé la combinaison de “بَارَكْنَا (barakna) du verset 17:1 en “نحنْبَارَكْ” (nahnu barak) pour figurer la déclaration de leur choix et traduire par « Nous avons béni », en remplaçant le mot arabe “بَارَكْ” (barak) avec le mot persan “مبارک” (mbark) et le mot suivant “حَوْلَهُ  (Ĥawlahu) a également été changé en un mot persan “ماحول” (mahul) pour inventer le sens fabriqué du mot arabe “حَوْلَ ” (hawla) dans la traduction parce que les érudits coranistes voulaient prouver qu'Allah a béni l'environnement ou les environs de Médine ou autour de Masjid Alnabwi (la mosquée du prophète). Alors que les érudits traditionnels ont suivi les traditions juives et ont inventé qu'Allah a béni l'environnement et les environs de Bait al Maqdas (la maison bénie de Abraham). En fait, les savants traditionnels et coranistes ont ignoré les paroles d'Allah juste pour satisfaire leur fausse croyance et ont détruit le véritable message d'Allah qui a été révélé dans ce verset 17:1.

Le mot arabe “بَارَكْ” (Bārak) est en fait dérivé du mot racine arabe “برَك” (brk) pour signifier : "sagenouiller pour réparer/rendre ferme" ; "étendre quelque chose pour le réparer ou le rendre ferme" ; "faire reposer quelque chose fermement", qui est un synonyme de “اِسْتَنَاخَ” (istanakh) et “أنَاخَ” (anakhsignifie : "réparer quelque chose pour le rendre ferme et inébranlable".

Al-Feiyoomee a écrit dans le "Misbah", Al-Mutarizee a écrit dans le "Mughrib", AI-Jowharee a écrit dans le "Sihah", AI-Feyroozabadee a écrit dans le "Kamoos" et Seyyid Murtada Az-Zebcedee a écrit dans le "Taj ul-Aroos » queبَرُكَ” (bark) signifie : "s'allonger", "être à genoux ou se mettre à genoux", "sur la poitrine", "les jambes repliées" ; "gonfler la poitrine pour se cramponner au sol" ; "tomber sur la poitrine"; "se jeter la poitrine sur le sol" qui est aussi appelée “تَبْرِيكٌ” tabrikun. Taj ul-Aroos a donné les exemples suivants tirés de dictons arabes :

بَرَكَتِ النَّعَامَةُ” (barkat alnaama) traduit par : L'autruche était couchée sur sa poitrine.

بَرَكَ عَلَى رُكْبَتَيْهِ” : (bark ala rakbatia) traduit par : quelque chose s'est mis sur ses genoux.

Taj ul-Aroos, Kamoos et Sihah ont expliqué plus en détail : Il, ou cela, (c'est-à-dire quelque chose) était, ou est devenu, ferme, stable, inébranlable ou réparé ; a continué, est demeuré ou est resté ; dans un endroit. Ils ont donné l'exemple suivant tiré de la littérature arabe : بَرَكَ لِلْقِتَالِ” (bark lilqital) Il était, ou est devenu, ferme, dans le but de combattre, et de cette même manière.

Abu al-Qasim Mahmud ibn Umar al-Zamakhshari Jar Allah a mentionné dans les "Asas" avec Taj ul-Aroos queبَرَكَ” (bark) est également utilisé comme adjectif pour signifierحفظ” (hafzsignifie : prolongé/très long/ferme ; comme s'il n'avait pas quitté sa place ou qu'il durait depuis longtemps ou plus longtemps que prévu ou d'habitude ou peut être pour toujours.

Selon Al‐Lihyanee et Kamoosبارك عَلَيْهِ” (barak alaihi) signifie : Il a conservé/gardé, ou s’est appliqué, constamment, ou avec persévérance ; à savoir ; une affaire, ou un commerce, ou un trafic.

Si nous regardons la composition de la phrase “بَارَكْنَا ” (Bāraknā) et l'exemple ci-dessus de “بارك عَلَيْهِ” (barak alaihi) signifie : Il a gardé, ou s'est appliqué, constamment, ou avec persévérance, nous pouvons dire qu'Allah a utilisé “بَارَكْنَا ” (Bāraknā) pour garder “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى ” (Al-Masjidi Al-'Aqşá) pour Lui constamment ou avec persévérance pour signifier : "prolongé pour nous". Par conséquent, littéralement “بَارَكْنَا ” (Bāraknā) signifie «gardé pour nous» ou « notre stationnaire/fixation » et idiomatiquement بَارَكْنَا ” (Bāraknā) signifie « fixé sur/ dessus/ pour nous » ou « gardé pour nous ».

Sihah et Kamoos ont donné l'exemple suivant :« أَبْرَكْتُهُ فَبَرَكَ » (abraktuhu fabaraka) pour signifier : Il l'a fait (homme, animal ou chose) se coucher ou s'agenouiller sur sa poitrine.

Selon le célèbre grammairien Abu Ishaq Ibrahim ibn Muhammad ibn as-Sari ibn Sahl az-Zajjaj,بَارَكَ” (baraka) est un cas à la voie passive ou quasi-passe (تَفَاعَل /tafa’al) de la forme active (فَاعَلَ /fa’ala) de بَرَكَ" (bark), comme تَبَاعَدَ (taba’ad) est quasi-passe de بَاعَدَ (baead)c’est-à-dire “بَرَكَ" (barkest quasi-passe de بَارَكَ” (barakadonne en quelque sorte la même signification que “بَرَكَ" (bark) et fonctionne soit comme un adjectif soit comme un adjectif adverbe.

Par conséquent, le "Lisan el-Arab" et le Taj ul Aroos ont cité un autre dicton arabe بَرْك الشِّتَآءِ (bark alshita) pour signifier: la première partie de l'hiver ; et l'essentiel de celui-ci.

Le savant arabe bien connu Abu Abd Allah Muḥammad ibn ʿAli ibn Muḥammad ibnʿArabi, qui est célèbre dans la littérature arabe sous son nom "Ibn-e-Arabi", a très bien expliqué le mot coranique “بَارَكَ” (barak) et a donné le sens correct de ce mot بَارِكٌ” (barikun) pour signifier :"Restant fixé à ou par une chose". Il a cité une expression arabe بُرَكُ عَلَى جَنْب الإِنَآءِ” (burak ealaa janb al'iina'i) signifiant : "Rester fixé sur ou par le côté du navire". Les Kamoos ont également copié la phrase ci-dessus et ont fait référence au même sens du mot "بَارِكٌ" (barikun) qui a été donné par Ibn Arabi.

AI-Jowharee a en outre écrit dans le "Sihah" et donc AI-Feyroozabadee dans le "Kamoos" que le mot "بَرُوكٌ" (barukun) est utilisé pour une femme qui se marie en ayant un grand fils en âge de puberté et "بَرُوكٌ" barukun signifie : une hâte , accélérer, s'efforcer, travailler ou s'exercer à courir, qui est dérivé de بَرَكَ (brkdans le sens dans lequel il est expliqué ci-dessus.

Seyyid Murtada Az-Zebcedee a en outre ajouté dans le "Taj ul-Aroos", AI-Jowharee a expliqué la même chose dans le "Sihah" et aussi AI-Feyroozabadee dans le "Kamoos" que "بُرَاكَآءُ" (buraka’u) signifie : fermeté, stabilité, ou la constance, dans la guerre ou la bataille.

Nous avons vu dans les livres réputés de légendes, de la littérature arabe, des dictionnaires arabes classiques et des livres de légendes de la grammaire arabe que le mot arabe/coranique « بَرَكَ » (brk) et ses dérivés « بَارَكَ » (barak) et « تبارک » tbarak) ne signifient pas : béni ou béni, car ils sont mal traduits dans tout le Coran. Cependant, les mots persans "برکت" (barkat), "تَبْركٌ(tabaruk) et "مبارک" (Mubarak) signifient bénédiction, béni et glorification qui ont été ajoutés dans la traduction du Coran arabe qui a été faite et révélée par Allah en langue claire qui est la langue arabe parlée. De plus, le terme de béatification ou de béatification a été utilisé pour la première fois par l'Église catholique romaine dans les supplications pour signifier bénir / sacré, féliciter, sanctifier, consacrer, sanctifier, rendre saint et rendre sacré comme "il a été béatifié par le pape Léon XIII".

Cependant, les érudits musulmans déviés qui se sont inspirés de l'Église et des traditions juives, et les zoroastriens persans déguisés en érudits musulmans ont changé le sens des mots arabes/coraniques

تبارک” tbark “بَارَكَ” baraka, بَرَكَ” barak مُبَارَكٌ mubarak et

بَرَكة” barak en « bénir ou béni » selon leur fausse croyance.

Par conséquent, dans le verset 17:1 que nous analysons, le motبَارَكَ” (barak) est grammaticalement un

le verbe «intransitif» “بَرَكَ” (barak) qui est en fait utilisé dans la littérature arabe pour signifier : faire reposer quelque chose, se coucher. devant, est devenu ferme, inébranlable ou fixé ; a continué, est resté ou est demeuré ; dans un lieu,

- l’ adjectif signifie : prolongé ; gardé, ou appliqué constamment, ou avec persévérance, à une affaire, ou un commerce, ou un trafic, l'a fait (homme, animal ou chose) pour se s’agenouiller/reposer sur sa poitrine qui reste fixée à, ou par, une chose , demeuré depuis longtemps, marié ou uni, fermeté, constance ou fermeté.

Donc, le but de faire s'agenouiller quelque chose; allonger quelque chose; faire reposer quelque chose ou déposer quelque chose, c'est le maintenir fixe ou le fixer, le rendre inébranlable et le rendre ferme, ce qui est le vrai sens du mot coranique بارك” (barak) .

 

حَوْلَهُ” (Ĥawlahu)

Le mot suivant est la combinaison deحَوْلَ  hawl ہْ hu (pronom objet/personnel ou pronom possessif de la 3e personne du singulier «son»).

Alors que le mot arabe حَوْلَ  (hawl) signifie : transférer, échanger, concerner, renvoyer, transposer (de deux ou plusieurs choses, d'échanger des places), interchanger, échanger, renverser, inverser, tourner, détourner, remettre, délivrer, transformer, retirer, rayer, transmuter (تغیر = taghayr), transmettre le statut.

حول (hawl) est également utilisé comme adjectif, nom et verbe dans les autres sens suivants :

être bigleux ; strabisme, rendre différent ou quitter une place pour une autre; enlever quelque chose et mettre autre chose ; laisser un train pour un autre; déménager dans une autre maison,

- changer(تَحَوُّل tahawul) , altération; conditions changeantes ou différentes; se déplacer d'un endroit à un autre; quelque chose utilisé à la place d'une autre, convertir ou être converti ou exemple de cela,

- s'écarter d'un cours établi, empêcher ou entraver, l'acte de transférer ou d'être transféré, un processus par lequel quelqu'un ou quelque chose est déplacé d'un endroit, d'une position , d’un emploi, etc. à un autre, l'acte ou le processus de changement ou d'état à un autre,

- aliéner de ; détourner de ; nuire à ; dévier de ; détourner de ; reste loin de ; se détourner (s'éloigner ou s'écarter) de la capacité, de la puissance, de la puissance ou de la force de quelque chose.

Le mot حوله (hawlahu) est aussi un terme financier qui est utilisé pour signifier : ‎Assigner ;Transmettre; effectuer un transfert ; Remise et transfert d'une dette.

Vous avez peut-être entendu le mot arabe “حواله” (hawala) qui est fréquemment utilisé à Dubaï et dans d'autres pays arabes pour transférer de l'argent par le biais d'agents de transfert.

Par conséquent, dans ce verset 17:1, le même motحوله (hawlahu) a été révélé dans le même sens de son utilisation pratique dans le transfert d'argent par l'intermédiaire d'un agent, mais la seule différence est que dans le verset 17:1 “حوله” (hawlahu) fait référence au transfert de position ou de poste d'obéissance de la Masjid interdite (Al Masjid Al Haram) à la position ou au chemin d'Allah (Al Masjid Al Aqsa) à travers (بِعَبْدِهِ =Bi`abdihi) le Prophète Muhammad (pssl), qui a agi en tant qu'agent d'Allah dans ce processus de transfert.

Selon la grammaire “حواله” (hawalah) est intransitif de “حوله” (hawlahu). Le même mot “حوله” (hawlahu) est utilisé comme terme juridique pour signifier "attribuer" qui est synonyme du mot arabe "تنازل" (tanazil).

Ar-Raghib a mentionné avec Sihah, Misbah, Mughrib, Taj ul Aroos et Kamoos que “حَوْلٌ” (hawl) est une chose qui a été altérée, transmutée ou changée dans son état ou dans sa condition et sa constitution dans son état ou de sa condition ou déplacé, ou tourné, d'une chose à une autre.

Ibn-Al-Aarabee a cité : عَمَّا كَانَ ↓تحوّل يَعْبُدُ إِلَى الإِسْلَام” (eamaa kan ↓thwwl yaebud 'iilaa al'iislam) pour signifier : il s'est détourné de ce qu'il adorait vers Al-Islám. Taj ul Aroos a traduit la même chose pour signifier : "il est devenu musulman".

Selon Kamoos, les dérivés de “حول” hul, c'est-à-dire حال hal et استحال astahal signifient tout ce qui a été déplacé, enlevé, ou est parti, ou est devenu changé ou transféré.

تَحْوِيلٌ (tahweel) signifie qu'il a été modifié/altéré, transmuté ou changé, que ce soit fondamentalement ou substantiellement, ou en ce qui concerne la situation difficile ou l'état ou la condition.

Le Coran dit :

35 43

فَلَن تَجِدَ لِسُنَّتِ اللَّهِ تَبْدِيلًا وَلَن تَجِدَ لِسُنَّتِ اللَّهِ تَحْوِيلًا (35:43)

Falan - Tajida – Lisunnati – Allāhi – Tabdīlāan – Wa – Lan – Tajida – Lisunnati – Allāhi - Taĥwīlāan

Vous ne trouverez pas -L'initiale - pratique/ tradition/ coutume/ voie/ méthode/ procédure/ système/ style/ manière/ chemin - de Dieu - remanié/substitué/permuté - et – non plus – l’initiale - la pratique/ tradition / coutume / style / voie / méthode - de Dieu - transformée / transmutée/ supprimée / retournée / convertie.

 

Ainsi ” حوله" (hawlahu) signifie : son retour, son changement, sa référence, son statut transformé, son déménagement, son retournement ou son transfert d'un état à un autre.

Cependant, le mot persan “تحویل” (thuyl) signifie en garde à vue, encercler, autour et entourer. Par conséquent, nos érudits ont remplacé le mot coranique ” حوله" (hawlahu) par son mot persan similaire “تحویل” (thuyl) et ils ont déformé le mot arabe تحویل” (thuyl) pour avoir la même signification que le mot persan “ماحول (mahul) atmosphère/ environnement /autour, dans la traduction du verset 17. :1 et ont inventé la fausse traduction du mot arabe ” حوله" (hawlahu) pour signifier son environnement, son entourage et autour de lui pour satisfaire leurs fausses croyances.

Les érudits traditionnels juifs qui se sont immiscés dans l’islam primitif ont détourné la déclaration de ce verset 17: 1 vers l'environnement béni de Bait Al Maqdas, la soi-disant Qibla juive, qui est également affirmée à tort comme la première Qibla (قبلہ اول qabl awl). Ces érudits traditionnels ont encore étendu ce verset vers l'histoire fabriquée de Mairaj (ascension) pour introduire dans l'islam le culte païen Namaz ou la prière de contact 5 fois par jour. Alors que les faux érudits coranistes ont menti sur Allah en disant que "l'environnement ou les environs de Médine" étaient bénis et ils ont commencé à égarer des innocents dans leur "Dars-e-Quran" dévié dans lequel les croyances non coraniques de leurs fondateurs sont prêchées au nom du "pur enseignement coranique".

De plus, les publications des érudits traditionnels et coranistes tournent également autour des croyances déviées de leurs écoles de pensée, mais ils prétendent toujours qu'ils livrent la véritable interprétation du Coran. En fait, ils devraient d'abord apprendre le Coran avant de le transmettre aux autres, car ni aucun voyage dans le ciel, connu sous le nom de Mairaj (ascension) n'est mentionné dans ce verset, ni la migration (Hijrah) vers Médine n’est mentionnée. Aucun mot de ce verset 17: 1 ne décrit que le pack de 5 prières de contact ou Namaz a été donné au Prophète (psl) et il n’est pas non plus mentionné qu'au départ il y avait 50 prières (Namaz) par jour qui ont été données par Allah et sur les conseils des autres prophètes, en particulier des Prophètes juifs, le Prophète Muhammad (pssl) a fait des allers-retours vers Allah plusieurs fois pour réduire le nombre de prières (Namaz) parce que les Prophètes juifs expérimentés n'étaient pas satisfaits de 50 prières (Namaz) par jour et sur leurs sages conseils, le Prophète Muhammad ( psl) a finalement réussi à réduire les prières quotidiennes (Namaz) de 50 fois par jour à seulement 5 fois par jour. Ces érudits ont essayé de prouver que le Prophète Muhammed (psl) était totalement stupide devant les prophètes précédents et ils ont également remis en question l’omniscience d'Allah sur le fait de savoir ou non si Son peuple était en mesure de prier 50 prières (Namaz) tous les jours. Ainsi, les érudits traditionnels ont inventé des prières 5 fois (Namaz) à partir de ce verset et les érudits coranistes leur ont fourni le terrain de la mosquée à Médine pour pratiquer ces prières de contact 5 fois (Namaz).

Cependant, selon le Coran, le mot "Masjid"(مسجد) n'est désigné par Allah que comme le maqaam d'Allah, le poste d'Allah, la position d'Allah, le siège d'Allah (“مسند” masnad) et la position d'Allah (“منصب” mansab) pour se soumettre à Lui, nous persuader de nous abandonner qu’à Lui et de n'obéir qu'à lui.

De plus, Allah est sévèrement contre tout autre masjid et Il a clairement mentionné dans le Coran de retirer ou de soustraire vos objets de valeur de chaque "masjid".

7 31 1

 (7:31).

"يَا بَنِي آدَمَ خُذُواْ زِينَتَكُمْ عِندَ كُلِّ مَسْجِدٍ 

Yā Banī 'Ādama Khudhū Zīnatakum `Inda Kulli Masjidin

 

J'écrirai certainement sur ce verset (7:31) en détail dans mes prochains articles. Cependant, pour votre compréhension rapide, l'humanité entière a été adressée par les mots"يَا بَنِي آدَمَ” (Yā Banī 'Ādama) et le mot “خُذُواْ” (Khudhū) est un verbe passif de “اخذ” (akhidh) qui signifie prendre, enlever, supprimer.

Le mot “مواخذہ” (mawakhda) qui signifie "retrait" est également dérivé de la même racine.

La phrase “زِينَتَكُمْ” (Zīnatakum) est la combinaison du mot زِينَت (zinata) + كُمْ (kum) (pronom objectif/pronom possessif de la deuxième personne du pluriel signifiant "vôtre/vos"). Le mot arabe زِينَت (zinat) signifie : la richesse, les bijoux, l'argent, tous les objets de valeur, y compris le temps précieux, car le temps c'est de l'argent et des efforts, et toutes sortes de matériaux de construction qui sont investis à (عِندَ eind) et autour de chaque mosquée.

 

 

 

Les mots de ce verset يَا بَنِي آدَمَ خُذُواْ زِينَتَكُمْ عِندَ كُلِّ مَسْجِدٍ ” (7:31).(ya bani adam khudhua zinatakum) nous expliquent en réalité comment utiliser cette richesse qui doit être retirée de tous les masjids et les versets suivants 7:32 et 7:33 dans le même contexte clarifient ce qu’il faut faire de cette richesse. Un article séparé est nécessaire pour faire ressortir la véritable interprétation de ces versets qui ne peuvent pas être expliqués ici en détail en raison de la longueur de cet article. Cependant, toutes les traductions de ce verset 7:31 sont non seulement fausses mais aussi trompeuses  il a été inventé de porter de beaux vêtements chaque fois que vous offrez la prière (Namaz) dans la mosquée. Tous les traducteurs et érudits ont dit la même chose mais pour faire court je ne citerai la traduction de M. Yousuf Ali que pour les mots

7 31 tradi

(7:31) “يَا بَنِي آدَمَ خُذُواْ زِينَتَكُمْ عِندَ كُلِّ مَسْجِدٍ 

Yā Banī 'Ādama Khudhū Zīnatakum `Inda Kulli Masjidin

Ô enfants d'Adam !portez vos beaux vêtements à chaque fois et dans chaque lieu de prière. (Yousuf Ali)

Vous pouvez voir par vous-même le texte arabe et trouver quel mot du Coran signifie "porter" et quel mot du Coran signifie vêtements/habillement ou robe ? Ils ont déformé le sens réel du verbe arabe “خُذُواْ” (Khudhū) et du nom "زِينَتَ" (Zīnata) pour inventer la traduction selon leurs croyances païennes, et pour protéger leurs mosquées.

 

7 31 suite
La phrase suivante du même verset (7:31)وَّكُلُواْ وَاشْرَبُواْ وَلاَ تُسْرِفُواْ ” (Wa Kulū Wa Ashrabū Wa Lā Tusrifū) est mis en évidence différemment en conseillant aux gens de «manger, boire et ne pas gaspiller» pour masquer la première affirmation يَا بَنِي آدَمَ خُذُواْ زِينَتَكُمْ عِندَ كُلِّ مَسْجِدٍ ” (Yā Banī 'Ādama Khudhū Zīnatakum `Inda Kulli Masjidin) dans lequel il était clairement ordonné de tout supprimer/ enlever/ éliminer du masjid, c'est-à-dire de ne pas peupler, de ne pas faire, de ne pas ériger, de ne pas construire, de ne pas décorer, de ne pas établir de masjid utilisez cet argent pour vos besoins de base pour manger et boire sans gaspiller C'est parce que "masjid" est seulement le poste/siège d'Allah et le maqaam (sanctuaire) d'Allah qui est mentionné dans le verset 17:1 que nous analysons.

 

Par conséquent, la même règle mentionnée dans le verset 7:31 ci-dessus s'applique à tous les masajid, y compris Al Masjid Al Haram, Al Masjid Al Nabwi à Médine et Al Masjid Al Aqsa qui a été construite en 705 après JC, bien après la mort du Prophète Muhammad (pssl). Al Masjid Al Nabwi à Médine était en fait une institution de l'Islam qui a été établie par le Prophète Muhammad (psl) non pas pour se prosterner vers le sanctuaire païen Kaaba mais pour émettre les commandements réels d'Allah et Al Masjid Al Aqsa qui a été mentionné dans le verset 17 :1 est le poste virtuel (منصب/mansib), le maqaam (sanctuaire) et la position d'Allah qu'Il a fixé pour se soumettre à Lui seul au lieu d'Al Masjid Al Haram ou de tout autre masjid. Si tel est le cas, construire une mosquée face à Al Masjid Al Haram et lui donner un nom comme al masjid al Nabwi, masjid Ayesha, masjid Ali ou masjid Aqsa, etc. sont des transgressions et des déviations claires de l'ordre d'Allah et comptent pour "SHIRK" (شرک), c'est-à-dire une association à la position et au poste (=منصب =mansib /مسند =musnad) d'Allah seul.

Le Prophète Muhammad (psl) était celui qui ne s'est jamais opposé au Coran et en fait grâce à lui (psl) nous avons le Coran aujourd'hui mais il y a des gens ignorants qui soutiennent sans preuve que la traduction actuelle du Coran a été donnée par le Prophète Muhammad (psl). Comment était-il possible que le Prophète arabophone Muhammad (psl) ait utilisé les mots persans dans le pur Coran arabe pour le traduire et le transmettre aux Arabes de souche ? Si Dieu voulait dire ce que nos savants ont inventé à partir de mots arabes simples et directs du Coran, pourquoi Dieu lui-même n'a-t-il pas utilisé ces mots que les savants ont inventés ? Alors que Dieu a dit dans le verset 18:109 qu’Il ne manque pas de mots. Le verset 19:64 dit que Dieu n'oublie pas et le verset 6:115 dit que la parole de Dieu est parfaite. Ainsi, Dieu aurait révélé Son Coran en langue persane s’Il avait voulu que Son Prophète (psl) remplace les mots du Coran arabe par le persan.

Par conséquent, accepter les traductions traditionnelles du Coran écrites dans les livres des Imams persans et de leurs disciples, et prendre leurs paroles comme les paroles du Prophète est vraiment un non-sens et une déviation de cet Islam qui a été apporté par le Coran arabe révélé sur le Prophète arabe Muhammad (pssl).

 

لِنُرِيَهُ ” (Linuriyahu)

Pour en revenir à l'analyse du verset 17:1, le mot suivant est à nouveau une phrase combinée avec unpronom objectif/pronom personnel ou pronom possessif à la 3ème personne du singulier «son» ”ہْ” (hu) à la fin et la particule préfixée “ل” (lam) au début qui est en fait une préposition pour signifier "à/de" et "pour" et également utilisé pour signifier "laisser/permettre". La formation de “نُرِي ” (nri) se situe entre la préposition “ل” (lam) et le pronom ”ہْ” (hu) «son». Alors que “نُرِي ” (nri) est le verbe au présent (المضارع =almadarie) commençant par la lettre Noon (نـ ), qui est aussi une forme abrégée du pronom à la première personne du pluriel. En arabe, un présent fait référence à une action inachevée qui est également connue sous le nom de verbe imparfait qui montre en fait que l'action n'est pas terminée ou n'est pas finie et que cette action se poursuit toujours. Par conséquent, “نُرِي ” (nri) signifie « nous montrons » ou « nous sommes en train de montrer» dans lequel le sujet «Nous» est Allah qui continuellement montre/ affiche/ produit/ présente/ démontre/ introduit/ expose/ indique/ énonce et retrace. Dans la grammaire arabe, il est aussi un "فعل عَرَضَ" (fiel ‘arada =verbe d'offre ou de présentation) qui signifie : être vu, mettre en évidence ; démontrer ; afficher ; exposer ; présenter ; produire ; montrer; afficher (تكشف = takashif); exposition; offre; présentation; en présentant; démo ; introduction; exposition; exposer; s'aligner; indication; fonctionnalité; partir planifier; impliquer; retracer.

La particule"ل" (lam) avec "ن" (noon) ou la forme abrégée du pronom à la première personne du pluriel apporte la phrase entière (y compris le pronom "ن" (noon)) sous une forme objective/pronom personnel. Toute la combinaison de l'expression "لِنُرِيَهُ" (Linuriyahu) est également utilisée dans la littérature arabe moderne pour signifier "voyons ça. Cependant, cela deviendra plus clair si vous développez le mot, mais il n'y a pas beaucoup de différence dans la compréhension de cette phrase, que vous le développiez en détails ou que vous le traduisiez dans son ensemble en arabe moderne.

 

مِنْ ” (min)

est une préposition pour signifier «de et à ».

 

آيَاتِنَا ” ('Āyātinā)

est une combinaison de “آيَاتِ” ('Āyāti =signes/versets/preuves) + “نَا” (na = le pronom objectif/pronom possessif à la première personne du pluriel pour signifier nôtre/à nous). Cette phrase combinée“آيَاتِنَا  (Āyātinā) est correctement traduite dans toutes les traductions sans remplacer le pronom objectif “نَا” (na =à nous/notre) par “نحنْ” (nahnu = nous) et tous les érudits ont produit la traduction correcte de “آيَاتِنَا ” (Āyātinā) pour signifier : Nos versets/ Nos signes/ ou Nos preuves, qui prouvent que les érudits savent ce qui est bien et ce qui est mal mais pour adapter les déclarations du Coran à leurs croyances non coraniques, ils traduisent délibérément le pronom objectif “نَا” (na = à nous/notre) pour signifier “نحنْ” (nahnu/ nous) dans de nombreux versets du Coran en raison desquels les déclarations réelles du Coran sont déformées et falsifiées à dessein. C'est la raison pour laquelle personne n'a traduit correctement “بَارَكْنَا ” (Bāraknā) dans le même verset mais pourtant ils ont correctement traduit آيَاتِنَا" (Āyātinā) car leur dogme païen ne leur permettait pas de traduire correctement la phrase بَارَكْنَا" (Bāraknā) mais les disciples aveugles de ces savants ne leur ont jamais demandé pourquoi ils ont changé les paroles d'Allah.

La traduction des mots “إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ” ('Innahu Huwa As-Samī`u Al-Başīru) est également incorrecte et trompeuse. Le sens correct peut sembler étrange à ceux qui ont mémorisé le mauvais sens de " السَّمِيعُ(As-Samī`u), “هُوَ” (Huwa)إِنَّهُ('Innahu) et “البَصِيرُ” (Al-Başīru). En effet, ces mots sont utilisés dans des sens différents dans la langue et la littérature arabes et dans la traduction du Coran, ils sont utilisés différemment sans aucune explication des raisons pour lesquelles leurs sens réels ont été modifiés.

إِنَّهُ Innahu

إِنَّ” (Inna) n'est pas utilisé en langue arabe pour signifier " très ", " sûrement ", " en effet ", " sans aucun doute " et " bien sûr" mais ces fausses significations de “إِنَّ” (Inna) sont prises tout au long de la traduction du Coran. Cependant, “إِنَّ” (Inna) est généralement suivi d'un nom accusatif ou d'un suffixe de pronom tel que le mot combiné “إِنَّهُ ” (Innahu) dans le verset 17:1, mais dans certains cas, lattribut sera à la forme nominative et parfois “إِنَّ” (Inna) est suivi d’une phrase prépositionnelle telle que “هنا” (hana) ou “هناك” (hanak), etc. par exemple les phrases arabes : “إِنَّ هناك كتابا على الطاولة” ('inna hunak kitaban ealaa altaawilati) ou “إِنَّ على الطاولة كتاباً” ('inna ‘alaa altaawilat ktabaan) sont correctement traduites pour signifier : « Il y a un livre sur la table ». Donc, “إِنَّ” (Inna) est utilisé pour signifier « il y a» dans les phrases ci-dessus et aussi pour signifier « ceci » dans les phrases suivantes :

ذكر أنَّ اللغة العربيةَ جميلةٌ”

dhakar ina allughat alerbyt jmyl

Il a mentionné que la langue arabe est belle.

قال المدیر إِنَّ اسئلةَ المراسل سخيفةٌ”

qal almudayr 'ina asylt almurasil skhyftun

"Le directeur a dit que les questions du journaliste étaient ridicules."

La traduction des deux phrases قالوا إنَّ الاصنام كُسِّرتْ” (qaluu 'ina aliasnam kusirtet “قالوا إنَّه كُسِّرَت الاصنام” (qalu 'inahu kusirat aliasnama) sont les mêmes et signifient «Ils ont dit que les idoles étaient brisées» mais leur composition est différente en raison du mot "que" entre “إِنَّ” ina et le verbe “كُسِّرتْ” kusirt un prototype, un modèle ou une réplique du mot (hu) normalement utilisé pour "un être humain" est ajouté, qui s'appelle “ضمير الشأن” (damir alshaana) dans la grammaire arabe. L'utilisation du prototype ou d'un pronom modèle est un style d'écriture pour renforcer l'énoncé. Ce “ضمير الشأن” (damir alshaana=pronom admiratif) n'est pas traduit pour signifier un pronom mais il met l'accent sur ce qui est dit et comme un auxilliaire.  

Dans les phrases arabes suivantes, “إِنَّ” inna est utilisé pour signifier «de » : طلبوا مني أَنْ أساعدَهم” (talabuu miniy 'an asaedahm) «Ils m'ont demandé de les aider». يريد أَنْ يدرس العربية.” (yurid 'an yadrus alearabiata) Il a envie d’étudier l'arabe.

Les phrases :نوى دراسةَ العربيةَ” (nwaa drast alerbyta) et “نوى أَنْ يَدْرُسَ العربيةَ” (nuaa 'an yadrus alerbyta) sont grammaticalement correctes mais différentes dans le style d'écriture, et leur traduction gardera le même sens: «Il avait l'intention d'étudier l'arabe».

Dans l'une des phrases ci-dessus, “أَنْ يَدْرُسَ” (an yadrusa) "étudier" est remplacé par le nom verbal de درس (daras) "étudier" qui est دراسةَ (dras) "étude".

Par conséquent, la vraie signification de cette particule arabe “إِنَّ” inna est : cela, là, à, pour ou pour que. Cependant, si “أن” ana est utilisé comme verbe, cela signifie : avoir un soupir de gémissement ; gémir; lamenter/pleurer ; pleurnicher/geindre ou émettre un son profond exprimant la douleur ; deuil/douleur/chagrin; ou désapprobation, faire un long son bas exprimant la douleur, le malheur, pousser un gémissement ; se lamenter ou se plaindre avec persistance ou amèrement ; faire un bruit comme un gémissement; se lamenter; déplorer, pleurer et se plaindre d'un ton grognon.

 

هُوَ” (Huwa)

Le mot arabe “هُوَ” (Huwa) est également mal traduit tout au long de la traduction du Coran. Seulement là où les règles grammaticales autorisent le mot “هُوَ” (Huwa) est utilisé comme pronom de la 3ème personne du singulier d'une chose ou d'une personne pour signifier "il" ou "cela" mais cette particule n'est pas toujours utilisée comme un pronom de la 3ème personne du singulier.

Ceux qui sont coincés avec l'interprétation de l'érudit traditionnel ou coranique et pensent que le mot arabe “هُوَ” (Huwa) n'est utilisé que pour le pronom de la 3ème personne signifiant lui ou lui, ils devraient se procurer n'importe quel journal arabe et y jeter un coup d'œil. Ils trouveront que “هُوَ” (Huwa) est le plus fréquemment utilisé dans l'écriture arabe comme verbe auxiliaire pour signifier « est ». La même chose peut être vue dans la littérature arabe et d'autres travaux écrits en langue arabe. En arabe, un auxilliaire n'est pas nécessaire avec un nom propre ou le nom d'une personne ou d'une chose telle que l'expression “هذا ولد” (hadha walad) est grammaticalement correcte et une phrase complète signifie : Ceci est un garçon. De même “هذا كتاب” (hadha kitabi) c'est un livre, “هذا قلم” (hadha qalamun) c'est un stylo et “هذا كرسي” (hadha kursi) c'est une chaise, هذا محمد” hadha muhamadu c'est Muhammad, “هذا علي” (hadha ealay) c'est Ali. Ces phrases sont des phrases grammaticalement correctes et complètes. Cependant, un auxilliaire “هُوَ” (huwa) est requis avec un nom défini et autre qu'un nom personnel. Les noms définis commencent généralement par l'article défini “ال” (al), comme “الکتاب (alkitab) "le livre" القلم” (alqalam) "le stylo" etc.

Par conséquent هذا كرسي” (hadha kursi) "cette chaise", هذا قلم” (hadha qalamun) "ce stylo", ou هذا كتاب” (hadha kitabi) "ce livre" sont des phrases grammaticalement correctes et complètes, mais “هذا القلم” (hadha alkitabi) "ceci le stylo", “ھُذا الکتاب (hadha alkitab) "ceci le livre" et “الکرسی هذا” (hadha alkirsi) "ceci la chaise" sont des fragments de phrase, et ne portent pas le sens correct et complet que l'on peut comprendre.

Selon la grammaire arabe “هُوَ” (huwa) doit être ajouté dans ces phrases, ce qui leur permet de passer d'une phrase fragmentaire à une phrase complète. Ainsi, les phrases ci-dessus sont correctement écrites comme suit :“هذا هو القلم” (hadha hu alqalamu) "c'est le stylo", ھُذا هو الکتاب” (hadha hu alktabi) "c'est le livre" et “الکرسی هذا هو” (alkursi hadha hu) "c'est la chaise". Traduire هُوَ” (huwa) par «il ou ceci» dans les phrases similaires à celles mentionnées ci-dessus est une ignorance complète de la langue arabe et de ses règles grammaticales, mais nos érudits traduisent la particule “هُوَ” (huwa) dans les versets de la Coran pour signifier "Il" ignorant toutes les règles linguistiques et dans la traduction de la plupart des versets du Coran “هُوَ” (huwa) est traduit à tort comme un pronom d'Allah. Cette mauvaise tactique est utilisée dans la traduction du Coran pour cacher le véritable message d'Allah en détournant l'attention des lecteurs vers l'élévation, la gloire, la louange, l'admiration et les attributs d'Allah, et personne n'ose modifier la mauvaise traduction en pensant qu'elle peut être un péché d'omettre ou de supprimer les attributs d'Allah mentionnés dans la mauvaise traduction.

La même tactique a été utilisée pour détruire la véritable déclaration d'Allah donnée dans le verset 17:1,  “هُوَ” (huwaa été mal interprété et pris à tort comme le pronom d'Allah et est traduit par des savants confus par « Il est Celui qui » (Yousuf Ali), « Lo ! Lui, Lui seul » (Pickthal), « Lui seul est tout » (Asad) et le reste des traductions ont mis « Il ». Cependant, dans la course à l'insertion des fausses croyances dans la traduction du Coran, tous les érudits coranistes et traditionnels ont oublié le fait que si Allah a continuellement utilisé le pronom à la première personne du pluriel pour Lui-même dans tous les mots précédents لِنُرِيَهُLinuriyahuبَارَكْنَا ” Bāraknā et dans “آيَاتِنَا ” 'Āyātināpourquoi aurait-il brusquement utilisé un pronom à la 3ème personne dans le mot suivant “هُوَ” (Huwa) au lieu de garder la même séquence d'utilisation du pronom à la première personne du pluriel ? Si Allah avait voulu dire ce que nos savants ont inventé, Allah ne manque de mots pour le dire (18:109) ni n'a oublié quoi que ce soit (19:64) mais ceux qui ne sont pas certains de l'au-delà, ne sont pas satisfaits du Coran et ils voudraient l'amender avec d'autres livres (10:15). De plus, ce style d'écriture médiocre ne se voit pas dans l'écriture arabe, même d'un écrivain immature, alors qu'Allah a certainement beaucoup plus d'expertise et de compétences en écriture que n'importe quel écrivain expert. Ainsi, l'écriture d'Allah ne peut pas être pauvre, ne peut pas être grammaticalement incorrecte et ne peut pas être en désordre telle qu'elle est présentée par nos érudits.

Les phrases arabes suivantes et leurs traductions sont copiées du dictionnaire Reverso dans lequel vous pouvez voir le bon usage de ce mot “هُوَ ” (huwa).

وعملها عند الموضة الحديثة هو مجرد غطاء”

"wa ‘amalaha eind almudat alhadithat hu mujarad ghita'i"

Et son travail dans la mode n'est qu'une couverture.

هذا هو مجرد قرض”

"hadha hu mujarad qardi"

Ce n'est qu'un prêt.

هذا هو مشروع الأول”

"hadha hu mashrue alawl"

Ceci est la première ébauche.

هذا هو الحالة شريط” 

"hadha hu alhalat sharitun"

C'est la barre d'état.

خطف المدنيين الأبرياء هو دائما مأساة”

"khatf almadaniiyn al'abria' hu dayiman masaatun"

L'enlèvement de civils innocents est toujours une tragédie.

هو يقول ان اخاه هو أمريكي وطني”

"hu yaqul an akhah hu 'amrikiun wataniun"

Il dit que son frère est un patriote américain

والآن هو مثل هو شخص مختلف”

"walan hu mithl hu shakhs mukhtalifun"

Et maintenant, c'est comme s'il était une personne différente.

En outre, dans tous les dictionnaires arabes réputés, la signification de l'expression arabeهو الذي” (hu aldhiy) signifie : "Est-ce", et "ما هو" (maa hu) signifie : "qu'est-ce"

Par conséquent, selon l'application des règles grammaticales correctes, l'article “هُوَ ” huwa a été utilisé comme verbe auxiliaire dans le verset 17:1 car il vient avant les noms définis « السَّمِيعُ البَصِيرُ» (alsamie albasiru) de la même manière que nous l’avons vu avec هو القلم hu alqalam، هو الکتاب hu alktab هو الکرسی hu alkursiu et هو الحالة hu alhala dans les exemples de phrases ci-dessus. Cependant, cette particule “هُوَ ” (huwa) est délibérément traduite par " Il " dans les traductions de ce verset 17:1 pour détourner l'attention des lecteurs de la déclaration réelle d'Allah sur Ses attributs “السَّمِيعُ البَصِيرُ” (Al-Samī`u Al-Başīru) pour dissimuler la compréhension de la déclaration d'Allah Il a effectivement attribué les mots “السَّمِيعُ البَصِيرُ” (As-Samī`u Al-Başīru) pour Ses (آيَاتِنَا 'Āyātinā) évidences, versets et signes et Son poste “الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى” «Mosquée Al-Aqsa». Si vous lisez avec les yeux ouverts les mots آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ” ('Āyātinā 'Innahu Huwa Al-Samī`u Al-Başīru) vous comprendrez clairement que les attributs “السَّمِيعُ البَصِيرُ” (As-Samī`u Al-Başīru) font en réalité référence à “آيَاتِنَا” ('Āyātinā) qu'Allah présente/montre (لِنُرِيَهُ = Linuriyahu).

 

السَّمِيعُ البَصِيرُ” Al-Samī`u Al-Başīru

Maintenant, nous devons comprendre le vrai sens des mots “السَّمِيعُ البَصِيرُ” Al-Samī`u Al-Başīru parce qu'ils sont mal traduits dans tout le Coran et comme d'habitude comme d'autres mots du Coran, nous avons mémorisé le mauvais sens de ces mots coraniques “السَّمِيعُ البَصِيرُ” (Al-Samī` Al-Başīru) pour signifier : Auditeur/Éntendeur & Audient.

Malheureusement, il n'est pas facile de trouver le sens correct des mots du Coran dans les dictionnaires car depuis la conspiration de l'Islam primitif contre le Coran il y a environ 1200 ans, les sens erronés des mots du Coran ont été publiés dans les dictionnaires et dans les livres de nos savants. Cependant, l'arabe n'est pas seulement la langue des musulmans, mais en fait l'arabe est aussi la langue de nombreuses nations non musulmanes, notamment les juifs, les chrétiens, les assyriens et de nombreux maronites et coptes qui ont précédé les Arabes en Afrique du Nord, en Mésopotamie et en Méditerranée orientale. Géographiquement, l'arabe est la langue pratiquée dans la région du monde qui s'étend de l'océan Atlantique à l'ouest à la mer d'Oman à l'est, et de la mer Méditerranée au nord à la corne de l'Afrique et à l'océan Indien au sud-est. Donc, des universités occidentales réputées ont des institutions arabes et la presse universitaire publie des dictionnaires, thésaurus et grammaires arabes pour les Arabes musulmans et non musulmans et pour ceux qui veulent apprendre la langue arabe. Dans ces dictionnaires, ils n'utilisent que le sens correct des mots arabes dans la catégorie "Général", mais le sens des mots arabes, qui ont été utilisés dans le Coran, est donné séparément dans des catégories à part mentionnées "Coran", qui est la liste des mots déformés. signification des mots arabes qui ont été utilisés dans la traduction du Coran. Ces significations trompeuses des mots arabes ne sont pas reconnues dans la langue arabe réelle, mais elles ne sont reconnues dans le monde musulman qu'en référence au Coran. Ainsi, les ennemis du Coran ont inventé une nouvelle langue du Coran qui est similaire à l'arabe dans l'écriture mais pas dans le sens.

Par conséquent, si vous regardez la signification des mots “السَّمِيعُ البَصِيرُ” (Al-Samī`u Al-Başīru) dans les dictionnaires, vous ne pourrez pas en obtenir la signification correcte en raison de la mauvaise signification des mots du Coran. Cependant, pour obtenir la bonne signification des mots arabes du Coran à partir des dictionnaires, vous devez commencer à chercher les mots du Coran à partir de leurs mots racines corrects dans la catégorie arabe générale et passer progressivement à la signification de leurs verbes, adverbes, noms et adjectifs utilisés dans la langue arabe générale, et vérifiez également la signification déformée, donnée donnée dans la catégorie "Coran" des dictionnaires, dans le dictionnaire anglais-arabe ou dans n’importe quelle autre langue. Par exemple dans la catégorie "Coran" vous aurez le sens faux et déformé du mot coranique “السَّمِيعُ” (Al-Samī`u) c’est-à-dire « audient ou entendant».

السامع” (Al-Sam’u)

Si vous recherchez ce mot “السَّمِيعُ” (Al-Samī`u) de l’arabe à l’anglais/français dans n’importe quel dictionnaireil est fort probable que vous trouviez la même signification qui est utilisée dans les traductions de la catégorie "Coran" car la plupart des dictionnaires arabes ont été compilés sous l'influence des premiers érudits de l'islam qui étaient des ennemis déguisés du Coran. Par conséquent, nous devrons revenir à l'arabe à partir du français en examinant la signification arabe du mot français "Audients" (pluriel du mot "Audient").

-Si vous n'avez pas de dictionnairefrançais-arabe, vous pouvez écrire "Audients" sur Google Translator.

-Dès que vous tapez le motfrançais "Audients" sur le traducteur google, vous verrez sa signification arabe “السامعون” (Al-Sam’un) qui est la signification arabe du mot français "Audients" dont le singulier est “السامع” (Al-Saam’u)

Il vous faudra être plus astucieux que les ordinateurs et les dictionnaires pour croiser les bases de données érigées par les ennemis du Coran sous lesquelles ils ont astucieusement dissimulé le sens réel des paroles d'Allah révélées dans le Coran.

Par conséquent, vous devrez parfois concevoir une méthode de recherche anti-routage pour percer le vrai sens des mots du Coran, comme le mot السَّمِيعُ” (Al-Samī`u) est un mot au singulier qui est mal traduit pour signifier "l'Audient" (singulier de "Audients").

Pour casser ou tromper le réseau intelligent organisé par les ennemis du Coran nous utiliserons le pluriel de "audient" c’est-à-dire "audients" et noter la traduction en arabe “السامعون” (Al-Sam’un) qui est le sens correct du mot "audients" en arabe.

Ensuite après avoir noté le sens du mot Arabe du mot "Audients", nous recherchons son singulier "Audient", puis nous irons vers le mot qui nous occupe "السَّمِيعُ (Al-Samī`u) dont nous recherchons le vrai sens. En fait, nous devrons aller au-delà des frontières et des limites des dictionnaires pour atteindre le vrai sens des mots coraniques “السَّمِيعُ البَصِيرُ” (Al-Samī`u Al-Başīru) car leur véritable sens a été mal dissimulé.

Par conséquent, nous partirons de la racine du mot coranique “السَّمِيعُ” (Al-Sami’u) qui est “سمع” (Sm’u`) qui est aussi un verbe qui veut dire entendre quelque chose au moyen de l'oreille ou avec les oreilles. Dans la littérature arabe standard, la grammaire arabe et dans les lexiques arabes, “سمع” (Sm’u) est également utilisé pour signifier «oreilles/l’ouïe» comme "nom" et est un synonyme de “فهم” (fahum) ou "compréhension" en langue arabe et connu sous le nom de علم من طريق السماع” (‘ulim min tariq alsma’u connaître/apprendre par la voie de l’ouïe, méthode de concevoir quelque chose ou d'acquérir une connaissance de quelque chose par l'ouïe). Les dictionnaires arabes standard prennent ce mot “سمع” (Sm’u) pour signifier “صوت” (sawtu) "son", «فهم (fahum)فطن (fatan) /تبين (tabaynu)» "discerner" et «ضرب (darb) وقع (waqae) /أصاب (asab)» "frapper"

La phrase لَّا يَسَّمَّعُونَ” (Lā Yassamma`ūna) du verset 37:8 signifie « ils n'écoutent pas/ils n'entendent pas/ils ne prêtent pas attention/ils n'apprennent pas/ils n'acquièrent pas de connaissance/ils ne comprennent pas.

Avec tant d'autres dictionnaires arabes légendaires, le "Misbah", le "Taj ul Aroos" et le "Kamoos" qui ont également mentionné queسَمِعَ” (Samī’u)signifie "comprendre" et que le verbe au présent “يَسْمَعُ” (yasma’u) signifie "compréhension". Cependant, aucun traducteur du Coran n'a laissé les mots "comprendre ou compréhension" dans la traduction du Coran, du mot coranique "سَمِعَ" (Samī`u).

Si vous avez déjà assisté aux prières de Tarawih(تراویح) pendant le Ramadan, qui a lieu la nuit, vous avez peut-être remarqué que deux Hafiz du Coran (qui ont mémorisé le Coran par cœur) sont nommés pour diriger la prière de Tarawih. Un Hafiz dirige la prière de Trawih et lit le Coran à haute voix tandis que l'autre Hafiz se tient au premier rang juste derrière lui et est connu sous le nom de "l'Auditeur" et appelé “السامع” (Al-Sam’u) .

Ainsi, en arabe général «Auditeur ou écouteur» est appelé “السامع” (Al-Sam’u) dont le pluriel est “السامعون” (Al-Sam’un) que nous avons déjà trouvé en utilisant la technique de recherche «anti-routage» pour atteindre le sens correct du mot coranique “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) qui est traduit à tort par «Audient ou Entendeur». Et nous avons donc trouvé le sens de “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) à partir de sa racine سمع” (Sm’u`dans dans les dictionnaires arabe-français et nous avons fini par savoir que “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) signifie «Entendeur-Celui fait entendre/comprendre» et c'est un attribut de Dieu.

Ainsi, j'ai appliqué la technique de recherche "anti-routage" pour atteindre le sens correct du mot coranique “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u), d’abord avec la recherche du mot «audients» pluriel de «audient» dans la langue arabe courante et nous avons trouvé que audients se dit “السامع” (Al-Sam’unet son singulier est السَّمِيعُ ” (Al-Sam’u) qui n’est pas le même mot que السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) du Coran.

Cette méthode de recherche pour relever le sens des mots peut être appliquée pour briser les murs binaires académiques intelligents créés par les érudits rusés dont le but était de cacher les significations réelles des mots du Coran et de détourner les mots du Coran vers une autre direction en leur donnant de fausses significations. pour détruire le véritable message d'Allah.

Si nous utilisons le mot “سامع” (Sam’u) pour désigner la personne qui est l’"auditrice" dans le Tarawih et que le même mot “سامع” (Sam’u) est également couramment utilisé dans la langue arabe courante pour désigner celui qui est l’"auditeur", alors quel est le véritable sens du mot coranique “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u)? Si ce mot “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) signifie l’«audient», pourquoi cette personne ne s'appelle-t-elle pas “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) comme le mot «audient» du Coran et pourquoi le pluriel de «audient » s'appelle-t-il “السامعون” (Al-Sam’un) «les auditeurs» en langue arabe ?

Ce sont les points qui ont piégé les érudits ignorants qui ont mal traduit ce mot coranique “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) pour signifier « l'audient ou l'entendant ». Aussi Dieu est bien plus au-dessus pour avoir un organe d'écoute comme les oreilles humaines. Allah n'a pas de limite et Il ne dépend de rien, c'est pourquoi Il n'a pas besoin de quoi que ce soit de limiténi qui se trompe comme les oreilles humaines qui peuvent entendre jusqu'à une certaine limite et si elles entendent/comprennent mal, nous ne pouvons rien entendre. De plus, les humains comprennent à travers le cerveau qui décode tout ce qui est perçu par les oreilles, mais Allah a plus que suffisamment de ressources et de connaissances et ne ne se trompe pas.

Ainsi, le sens correct du mot arabe/coranique “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) est l'attribut de quelque chose qui fait entendre et qui fait comprendre. Cet attribut est utilisé avec Allah car Il est Celui qui nous fait entendre et développe notre compréhension. Par conséquent, nous utilisons “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) pour Allah qui a créé notre cerveau pour comprendre et nous faisons la différence entre le bien et le mal et bien sûr Allah est celui qui nous a fait «entendre» ou «écouter». Dans le verset que nous étudions 17:1 Allah a utilisé les mêmes attributs, faire comprendre et faire entendre, pour Ses versets, pour Ses signes et pour les preuves (آيَاتِنَا ) ayatina qu'Il nous montre (لِنُرِيَهُ = linuriah). Ainsi, les mots نُرِيَهُ مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ ” (Linuriyahu Min 'Āyātinā 'Innahu Huwa As-Samī`u) nous expliquent que les versets d'Allah ou les signes d'Allah nous font comprendre / nous donnent la connaissance et frappent pour nous montrer le droit chemin.

 البَصِيرُ Al-Başīru

Vous pouvez atteindre le vrai sens de ce mot coranique de la même manière qu'expliqué ci-dessus car le mot arabe البَصِيرُ  (Al-Başīru) ne signifie pas « voyant » ou « clairvoyant » comme inséré à tort dans la traduction du Coran. Le verbe "Voir" est traduit par "“یری” (yry) en arabe qui est tiré de la racine “رأى” (r'aa) dont le nom est “رؤية” (ruyatu) en arabe. La "vue" est appelée “النظرة” (alnazratu) et la panorama/perspective/scène se dit “مشهد” (machhad) qui est dérivé de شھد” (chahdu) signifie voir avec ses yeux, “شھد” (chahdu) est celui qui voit quelque chose avec ses yeux et شھادۃ” (chahada) est un témoin oculaire, une preuve de quelque chose et un certificat de preuve. Le mot “البَصِيرُ” (Al-Başīru) n'entre pas dans cette catégorie, mais les dictionnaires arabes considèrent ce mot comme signifiant "vue" parce que les imams persans zoroastriens et les premiers érudits de l'islam déguisés ont pris le mot persan بصارت (basart = vue des yeux) et l'ont inséré dans les dictionnaires arabes pour interpréter le mot arabe “بصارۃ” (basarah) et ont traduit le mot البَصِيرُ” (Al-Başīru) par "voyant/clairvoyant". Ils ont fait la même chose avec le mot arabe “السَّمِيعُ  (Al-Samī`u) et l'ont remplacé par le mot persan “سماعت” (sama’at).

Par conséquent, “سامعین” (sami’ayn) est le mot persan pour signifier "audience" qui est le pluriel du mot persan “سمیع” (smai‘a) pour signifier «qui entend» ou auditeur ou écouteur. Ainsi, les imams persans du début de l'islam ont remplacé le vrai sens du mot arabe “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) pour signifier le mot persan “سمیع” (smai’a). Alors que pour l'auditeur ou l'entendeur, le mot arabe “السامع” (al-saam’u) et son pluriel “السامعون” (al-sam’un) sont utilisés en langue arabe.

De même, la mauvaise signification du mot arabeالبَصِيرُ” ((Al-Başīru) dans la traduction du Coran vient du mot persan بصارت” (basart) parce que les premiers érudits persans de l'islam ont délibérément traduit le mot arabe البَصِيرُ” (albasiru) pour signifier le mot persan بصارت” (basart) (voir ou voir).

البَصِيرُ” (Al-Başīru) est dérivé de la racine du mot arabe “بصر” (bsar) qui signifie «visualiser», percevoir, juger, réaliser, imaginer, considérer, observer.

بَصِيرَة” (basira) est le nom grammatical qui signifie : vision, imagination, perception, sens, pensée, bon jugement, sagesse, discernement, conscience, habileté ; finesse; élégance; perspicacité, intelligence, acuité, capacité à comprendre et à juger les choses rapidement et clairement; perspicacité, avoir du bon sens pour remarquer ou comprendre les choses, observateur et vigilant.

Vous avez peut-être entendu le mot arabe “مبصر” (mubassar) c'est le mot qui est utilisé pour désigner quelqu’un qui est "observateur", qui utilise sa vision/ sens/ ,jugement/ sagesse, etc., c'est-à-dire qui a toutes les capacités et compétences indiquées ci-dessus qui relèvent du sens du mot racine “بصر” (bsar) et son nom “بَصِيرَة” (basira)Dans la traduction du verset 75:14, nos érudits ont traduit le mot “بَصِيرَة” (basira) dans le même sens que celui que j'ai décrit ci-dessus.

Si la racine arabe “بصر” (bsar) est prise pour signifier « voyant/voir », le mot arabe “مبصر” (mubassir) sera traduit pour signifier «voyant» ou qui voit, c'est pourquoi le pluriel “مُّبْصِرُونَ” (Mubşirūna) est traduit par nos savants pour signifier «vision/voyants» dans la traduction du verset 7:201. C'est le verset qui fissure le mur binaire érigé par ceux qui ont déformé le sens réel du mot coranique البَصِيرُ” (Al-Başīru).

(7:201 Ceux qui pratiquent la piété, lorsqu´une suggestion du Diable les touche se rappellent : et les voilà devenus مُّبْصِرُونَ” (Mubşirūna) / clairvoyants.)

Peut-être qu'Allah les a rendus aveugles ou qu'ils ont oublié de déformer les pluriels desdes mots au singulier ou qu'ils les ont laissés par erreur car les criminels laissent toujours des preuves aux enquêteurs pour les attraper. D'une certaine manière, j'ai trouvé cet indice pour rétablir le vrai message d'Allah en rectifiant les erreurs commises dans l'interprétation du Coran. Alors, quelle sera la signification de l'épithète “البَصِيرُ” (Al-Başīru) si le mot pluriel “مُّبْصِرُونَ” (Mubşirūna) est pris pour signifier «VOYANTS» dont le singulier est “مُّبْصِرُ” (mubsiru VOYANT) ? En d'autres termes, comment “البَصِيرُ” (Al-Başīru) peut être traduit pour signifier «VOYANT» si “مُّبْصِرُ” mubsiru est déjà utilisé dans le même sens?

Par conséquent, ils ont remplacé le sens du mot coranique “البَصِيرُ” (Al-Başīru) par la fonction (aor = domaine d’action/responsabilité) du mot “مُّبْصِرُ” (Mubşirū) (le sujet des compétences énumérées sous le mot racine “بصر” bsar et le nom “بَصِيرَة” basira) de la même manière qu'ils ont remplacé le sens et la fonction du mot coranique ”السَّمِيعُ” (Al-Samī`) (celui qui fait entendre ou écouter) avec le mot “السامع” (audient/entendant) et traduit à tort “البَصِيرُ” (Al-Başīru) pour signifier «voyant», ce qui n'est pas la fonction (aor) du mot “البَصِيرُ” (Al-Başīru), comme «entendre» n'est pas la fonction (aor) du mot coranique  “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u). En fait “السَّمِيعُ ” (Al-Samī`u) est celui qui frappe sur le tympan et provoque l'ouïe. De même, la signification correcte du mot coranique“البَصِيرُ” (Al-Başīru) n'est pas «voyant» mais un développeur et un créateur de la vision de sagesse, de compréhension et de jugement, etc. Comme l'ouïe dépend des organes sensoriels, la "cochlée" qui est remplie de fluides d'endolymphe et de périlymphe et des canaux semi-circulaires. De même, la vue dépend des yeux qui sont aussi un organe qui réagit à la lumière. Cependant, Dieu se suffit à lui-même et ne dépend d'aucun organe matériel. Les mots faibles comme entendre et voir ne correspondent pas aux attributs de Dieu Tout-Puissant qui est Lui-même un créateur de l'ouïe et de la vue. C'est la raison pour laquelle Allah a utilisé les mots “السَّمِيعُ البَصِيرُ” Al-Samī`u Al-Başīru au lieu de « l'audient » et le «voyant». Vous pouvez également noter qu'il n'y a pas de conjonction “و” (wao) , c'est-à-dire « et » entre “السَّمِيعُ” Al-Samī`u et “البَصِيرُ” Al-Başīru. S'il s'agissait de «audient» et de «voyant», cette conjonction aurait été trouvée entre les deux mots, en particulier dans la langue arabe dans laquelle la conjonction “و” (wao) est largement utilisée. Cependant, certains érudits confus insèrent une conjonction dans la traduction pour garder son flux et certains traduisent de manière incohérente cette phrase pour signifier "l'auditeur le voyant". Une traduction brusque et incohérente montre l’évidence de la confusion des traducteurs et n'ont pas compris ce qui est dit dans ce verset particulier du Coran ou ils cachent le vrai sens et essaient de détourner la déclaration du Coran vers une autre direction.

Dans les temps modernes, “السَّمِيعُ البَصِيرُ” Al-Samī`u Al-Başīru pourrait être traduit par les attributs "audiovisuels" ou les attributs "en direct" de quelque chose comme la projection médiatique des temps modernes parce que “لِنُرِيَهُ” (Linuriyahu) est déjà là pour signifier la présentation. Par conséquent, en raison de l'avancement des médias, les futurs érudits ou érudits avancés de l'ère moderne traduiront ces mots :.

17 1 suite

لِنُرِيَهُ مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ ”

Linuriyahu Min 'Āyātinā 'Innahu Huwa Al-Samī`u Al-Başīru

Voyons une présentation audiovisuelle en direct de nos versets/signes/preuves pour les concevoir/comprendre

 

De plus, la personnalité et les actes de Dieu seront traduits plus amicalement à l'avenir, comme s'Il s'impliquait librement avec nous et participait avec nous à toutes les activités dans une atmosphère moins rigide et de plaisance.

Cependant, à l'heure actuelle, nous ne pouvons pas dire à Dieu venez avec nous au cinéma, nous prendrons plaisir à regarder tel ou tel film ensemble ou allons jouer un match et devenez notre arbitre. C'est parce qu'actuellement nous avons fait de Dieu un bourreau qui pend Ses esclaves. Il y a tellement de versets dans le Coran dans lesquels Allah parle très amicalement et même de façon priante ou en demandeur. Dans de nombreux versets, Allah montre Son remarquable sens de l'humour. Dans de nombreux versets, Allah montre Ses sentiments et nous fait sentir que personne n'est plus proche de nous que Lui, mais les érudits coranistes affirment qu'Allah n'a aucun sentiment ni aucune émotion, en d'autres termes une idole sans vie, tandis que les érudits traditionnels dépeignent Dieu extrêmement affectueusement et le meilleur des amis comme un vieux roi en colère difficile à comprendre et à approcher directement. Comment ce Dieu peut être rude et dur et sec et sans sentiment et sans goût Qui a créé tous les plaisirs de la vie et a donné à tout une couleur vibrante et un goût unique.

Quoi qu'il en soit, nous vivons toujours dans le passé, car nous avons été mentalement repoussés à l'âge sombre du paganisme pré-islamique. Le but de la révélation du Coran était de sortir l'humanité des ténèbres malfaisantes de l'âge sombre, mais nous avons abandonné le Coran et oublié le message d'Allah.

Par conséquent, je laisserai aux futurs érudits attentifs, le soin de suivre cette ligne directrice dans l'interprétation correcte et humaine du Coran sans omettre le véritable sentiment et les vraies émotions de Dieu qu'Il a utilisés dans Ses déclarations révélées dans le Coran.

17 1 correct

Ainsi, selon notre époque, la traduction mot à mot correcte du texte arabe du verset 17:1 est la suivante.

سُبْحَانَ الَّذِي أَسْرَى بِعَبْدِهِ لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ إِلَى الْمَسْجِدِ الْأَقْصَى الَّذِي بَارَكْنَا حَوْلَهُ لِنُرِيَهُ مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ
 
Subĥāna – Al-Ladhī – 'Asrá - Bi`abdihi - Laylāan – Mina - Al-Masjidi Al-Ĥarāmi – 'Ilá - Al-Masjidi Al-'Aqşá – Al-Ladhī – Bāraknā – Ĥawlahu – Linuriyahu – Min - 'Āyātinā – 'Innahu - Huwa – As-Samī`u - Al-Başīru
 
Qui a fait chasser, par son obéissant, la chaîne/lien/des ténèbres/tricherie du Masjid interdit vers la position primitive d'obéissance qui a toujours été fixée/gardée par nous, son changement car nous montrons à partir de nos versets/signes/preuves c'est le Frappant Vigilant.
 
Qui a fait déplacer, par le désir de revenir (sur Nos pas) de Son obéissant, de la captivité des ténèbres du Masjid interdit vers la position primitive d'obéissance qui a toujours été fixée, pour nous, une transmutation afin que nous montrions à partir de nos signes, c'est le Frappant Vigilant.

 

 
Traduction mot à mot correcte du verset 17:1 du coran
 

L'analyse détaillée mot à mot et la traduction correcte du verset 17:1 ci-dessus ont pleinement exposé nos érudits traditionnels et coranistes qui ont inventé des mensonges dans l'interprétation de ce verset.

Ce verset 17: 1 ne parle d'aucun voyage du Prophète Muhammad (psl) à Masjid Aksa de Bait Al Maqdas et de là vers les cieux ni ne mentionne la migration du Prophète à Médine. Masjid Aksa de Bait Al Maqdas a été construit environ 71 ans après la mort du Prophète Muhammad (psl) et ce verset 17: 1 a été révélé avant la migration (Hijrah) à Médine.

 Ce verset 17: 1 a été composé au passé qui dénote un incident passé proche (ماضی قریب =madiy quryb) qui a été mentionné dans ce verset comme une activité solide et remarquable du dévot obéissant d'Allah, le Prophète Muhammad (psl) qui était considéré par Allah comme un moyen ou un outil ou une source de changement significatif pour détourner les gens de l'emprisonnement du culte païen de l'âge sombre d'Al Masjid Al Haram vers le chemin primitif de l'obéissance à Allah qui était établie depuis toujours. Aucune particule d'avenir n'est vue dans le texte arabe de ce verset et aucune prédiction n'est vue sur un voyage du Prophète (psl) vers n'importe où.

En fait, dans ce verset 17: 1, Allah apprécie la lutte de notre Prophète Muhammad (psl) et admire son travail remarquable de sauvetage des gens de l'esclavage du sanctuaire païen "Al Masjid Al Haram" au nom de la religion et il a détourné les gens de l'adoration des idoles vers l'obéissance à Allah. L'expressionبِعَبْدِهِ” Bi`abdihi indiquant clairement que cela s'est produit grâce à l'obéissance d'Allah. Cette phrase “بِعَبْدِهِ” Bi`abdihi ne signifie pas « aux obéissants d'Allah » mais par/au moyen de/avec/par Son obéissant ».

Les objectifs suivants ont été atteints en détruisant l'interprétation correcte de ce verset 17:1

  1. Protéger le sanctuaire païen Al Masjid Al Haram et son culte païen polythéiste, ainsi que tous les rituels qui sont exécutés dans les locaux d'Al Masjid Al Haram et à d'autres endroits face à Al Masjid Al Haram.

  1. Le prophète Muhammad a coupé la chaîne de la religion et de ses rituels obscurs qui n'étaient pas acceptés par ceux qui étaient les proclamateurs de la religion et de ses rituels païens. Ils ont donc changé l'interprétation de ce verset 17:1

  1. Pour cacher la valeur du Prophète Muhammad (psl) aux gens quiil était aux yeux d'Allah, Qui a reconnu les grands efforts et le travail remarquable du Prophète Muhammad (psl) pour la libération de l'humanité du captivant cordon ombilical (أَسْرَى = asraa) du culte mis sur liste noire à la mosquée interdite et illégale "Al Masjid Al Haram" et remettant les gens sur la bonne voie pour obéir à Dieu seul. Les ennemis de notre prophète exalté Muhammad (psl) n'aimaient pas qu'Allah ait apprécié le Prophète Muhammad (psl) et l'ait admiré, et en ait fait une cause pour que l'humanité soit libérée du piège méchant d'Al Masjid Al Haram parce qu'ils croyaient que le prophète Muhammad n'était pas le vrai prophète, c'est pourquoi ils ont fait de leur mieux pour dégrader notre prophète hautement considéré Muhammad (psl) et ne voulaient pas que les gens voient les paroles admiratives d'Allah pour le travail incroyable de notre prophète (psl). C'est une autre raison pour laquelle ils ont détourné de manière trompeuse l'interprétation de ce verset 17:1

Nos érudits et leurs partisans ont blasphémé contre le prophète Mahomet et l'ont dégradé en cachant son travail incroyable pour l'humanité et en ne reconnaissant pas ses valeurs qu'Allah a décrites dans le Coran.

Ce ne sont pas seulement les ordres d'Allah mentionnés dans le Coran, mais aussi la plus grande et la principale Sunnah du Prophète Muhammad (psl) qui est reconnue par Allah dans ce verset 17: 1 pour détourner les gens d'Al Masjid Al Haram et de sa charte d'adoration illégale vers le droit chemin d'Allah qui avait été conçu par Allah depuis toujours.

J'ai présenté une analyse mot à mot et une traduction correcte du verset 17:1. Cependant, c'est à vous de décider si vous lisez et comprenez le Coran à partir de ses propres mots ou si vous choisissez toujours d'utiliser la fausse traduction de faux savants.

Salutations

dr. Kasif Khan

https://www.linkedin.com/pulse/quranist-traditional-scholars-invented-lies-verse-171-dr-kashif-khan/?trackingId=4YrxOmiUQUa%2FKh2Y8Y%2FLqg%3D%3D

 

 

 

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